5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 04:20
Hush  

Quatrième de couverture:
Au matin de sa première nuit avec le Dr Keaton, avec qui elle travaille dans une clinique d'insémination artificielle, Lake Warren s'éveille au côté d'un cadavre. C'est le début de sa descente aux enfers.

 Pour ne pas risquer la garde de ses enfants, elle doit mentir à la police et découvrir elle-même la vérité. Bientôt, d'inquiétants indices viennent -littéralement- s'amonceler devant sa porte.

 Lake comprend alors qu'elle est dangereusement proche des secrets sordides de la clinique et de Keaton. Peut-elle encore faire machine arrière ?

Mon avis :

J'ai passé un bon moment en compagnie de Lake dans cette histoire, une femme sans histoire autre que son divorce un peu compliqué. Et un matin, sa vie bascule.

L'histoire est rythmée et agréable à lire. Evidemment on a envie qu'elle s'en sorte mais dès le début elle a menti à la police, on se demande si cela ne va pas finir par se retourner contre elle.

Lake ne veut pas se faire remarquer pour ne pas perdre la garde de ses enfants, mais les évènements s'enchaînent jusqu'à la révélation finale assez inattendue.
Tout au long de ma lecture j'ai suspecté les personnages tour à tour bien sûr, sans trouver le coupable. 

Une histoire bien menée à ne pas lire seul(e) le soir à la maison surtout s'il y a des bruits bizarres... 

Livre emprunté à la

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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 04:20
Les menotte et le radiateur Quatrième de couverture :
Vous dînez chez des amis. La conversation roule sur la passion. On raconte une histoire : amour fou, menottes et radiateur... L'imagination de chacun s'enflamme. Le plus torride reste à venir.
Choderlos de Laclos et Vivant Denon hantent ce jeu littéraire, aussi moderne que malicieux.
Un clin d'œil plein de légèreté et d'humour.

Mon avis :

J'ai lu ce petit livre en profitant de la météo clémente de dimanche après-midi. 95 pages vite dévorées.

Suzie écrit des lettres à son amie Valentine en lui faisant part de ses amours italiennes.... avec un anglais.
Elle se désespère de la froideur de son amant jusqu'à une certaine nuit ... durant laquelle elle le découvre différent. On le découvre en même temps que Suzie mais l'auteur nous suggère ce qui se passe et c'est à nous de l'imaginer.

Je ne veux pas vous en dire plus car le livre est court, il faut le découvrir par vous-même.

Une petite lecture légère, amusante et pas désagréable du tout, coquine mais tout est dans les sous-entendus.

 

Livre emprunté à la 
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 Le premier mardi  Challenge petit bac

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 04:20

Tamara Drewe

  

Quatrième de couverture :
 Avec son nez refait, ses jambes interminables, ses airs de princesse sexy, son job dans la presse de caniveau, ses aspirations à la célébrité et sa facilité à briser les cœurs, Tamara Drewe est l'Amazone urbaine du XXIe siècle. Son retour à la campagne, dans le village où a vécu sa mère, est un choc pour la petite communauté qui y prospère en paix.

Hommes et femmes, bobos et ruraux, auteur à gros tirage, universitaire frustré, rock star au rancart, fils du pays, teenagers locales gravées de people, tous et toutes sont attirés par Tamara, dont la beauté pyromane, les liaisons dangereuses et les divagations amoureuses éveillent d'obscures passions et provoquent un enchaînement de circonstances aboutissant à une tragédie à la Posy Simmonds, c'est-à-dire à la fois poignante et absurde. Librement inspiré du roman de Thomas Hardy Loin de la foule déchaînée, un portrait à charge délicieusement cruel et ironique de l'Angleterre d'aujourd'hui.  

Mon avis :

Je découvre, encore une fois grâce à vos blogs, le roman graphique, un mélange de roman et de BD.

J'ai bien aimé ce principe qui alterne les textes et les dessins. J'ai apprécié les illustrations réalistes, les visages assez expressifs.

Les personnages interviennent à tour de rôle pour raconter l'histoire de leur point de vue.

En revanche, je n'ai pas adoré l'histoire, je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages et je n'étais pas trop pressée de revenir à ma lecture quand je faisais une pause. C'est la fin que j'ai préférée car je ne m'y attendais pas. 

J'ai d'autres titres de romans graphiques dans ma LAL (liste de livres à lire) et je continuerai ma découverte de ce genre nouveau pour moi, c'est donc un bon point pour ce livre quand même.

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 10:00
Sans nom Quatrième de couverture :
 Nul doute que Wilkie Collins n’ait donné avec Sans nom (1862) l’un de ses plus intraitables chefs-d’oeuvre : celui en tout cas qui privera le mieux de sommeil le lecteur assez téméraire pour s’y plonger, pour s’y perdre. De tous ses romans, celui que préférait Dickens… et celui dont se sera peut-être le plus directement inspiré Charles Palliser pour ourdir la trame diabolique de son Quinconce.

C’est aussi le plus noir : portrait et itinéraire d’une femme dépossédée  de toutes ses espérances (et même de son identité) à la suite d’un complot fomenté par des gens du meilleur monde. Elle se battra, se salira les mains, fera le terrible apprentissage de la liberté… et nous tiendra en haleine huit cents pages durant au fil d’une intrigue qui ne nous épargne rien. Prétexte, pour l’auteur, à décorseter la bonne société victorienne avec un sadisme tout hitchcockien.   

Mon avis :

Ambiance 19ème siècle anglais pour ce pavé de 829 pages. 

Nous faisons connaissance avec la famille Vanstone, le père, la mère, les deux filles et la gouvernante qui fait partie intégrante de la famille.  Cette famille est unie, aisée jusqu'au jour où des évènements vont tout faire voler en éclats. Une centaine de pages pour cette mise en place et la découverte des différents membres de la famille et de leur vie, avant qu'un passé inattendu refasse surface et bouleverse cette famille bien établie.

Voici l'histoire en gros... en très gros même.

Chaque partie du livre se déroule dans un endroit différent en fonction des déplacements des personnages. Chacune de ces parties est séparée par un intermède qui contient en général les courriers échangés entre les différents protagonistes de l'histoire avant de passer à la suite de l'histoire, un peu comme pour une pièce de théâtre ces parties sont nommées Scène première, Scène seconde ... J'ai beaucoup aimé cette construction.

J'ai aussi aimé ce langage d'époque, très démodé mais si charmant.

Mon sentiment envers ma lecture a évolué au fil des pages. Mon intérêt a été maintenu jusqu'à la moitié du livre où j'ai trouvé que cela traînait un peu en longueur mais cela redémarre de plus belle un peu plus tard, l'auteur fait parfois durer le plaisir pour mieux faire repartir l'histoire. Je me suis à nouveau un peu lassée pendant le dernier tiers du livre et n'ai pas trop aimé la fin.

L'auteur est très fort pour nous raconter cette histoire de machination et de complot, certains personnages sont vraiment retors et machiavéliques, ils emploient ruses et stratagèmes sans discontinuer.

J'aurais apprécié qu'il fasse 200 pages de moins pour éviter certaines longueurs, mais j'ai globalement bien aimé ce livre. 

Mon seul regret, c'est que je participe à une lecture commune avec Bibliofolie et d'autres blogueurs, et que ce site a été infesté de virus et a donc rendu l'âme. Dommage !       

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 22:15

2 ans blog

 

Il y a deux ans naissait mon blog.

Et il y a quelques années de plus, le même jour, naissait le premier bébé de mes parents : MOI !  

Je prends toujours autant de plaisir à lire et à bloguer donc... je continue.

J'espère faire de nouvelles rencontres de blogueuses cette année ce sont toujours de très bons moments.

  J'espère aussi trouver du travail et avoir encore le temps de lire... mais je trouverais toujours le temps de lire !

Merci à tous les fidèles qui me suivent sur mon blog et à tous ceux qui passent occasionnellement.

J'aime aussi beaucoup les contacts qui se poursuivent sur Facebook, j'ai l'impression de mieux connaître certaines blogueuses que je n'ai jamais rencontrées et avec qui j'ai vraiment sympathisé.

Je vous épargne le bilan chiffré ce n'est pas le plus important mais depuis le début j'ai participé à des partenariats, des challenges, des livres voyageurs, des swaps, un R.A.T (marathon de lecture de douze heures).

Je ne pensais pas du tout que mon blog me mènerait à tout ça, ni qu'il me permettrait de rencontrer, virtuellement ou non, autant de lectrices compulsives, je me sens nettement moins seule !!!! 

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 04:20
Le journal de Yaël Koppman

Quatrième de couverture :
 Si Yaël Koppman n'avait pas croisé, à la faveur de ses travaux universitaires, la figure de John Maynard Keynes, sa vie serait probablement restée celle qu'avec un brin de complaisance et beaucoup de dérision, elle dépeint dans son journal intime : la vie d'une trentenaire désœuvrée, cultivant une relation conflictuelle avec sa mère, vivant en colocation avec son meilleur ami, collectionnant les hommes et s'en remettant en général à sa brillante cousine, Clara, éditrice de son métier.

Quand cette dernière lui suggère de se désennuyer en écrivant de la Chick Lit, de la littérature de poulette - genre qui lui conviendrait parfaitement, glisse la perfide -, Yaël est piquée au vif : elle écrira, oui, mais sur la filleule de Keynes, son économiste préféré, qui était aussi la nièce de Virginia Woolf, son écrivain préféré. Bien consciente que la figure d'Angelica Garnett, puisque c'est d'elle qu'il s'agit, lui tend un étrange miroir, elle se lance à corps perdu dans des recherches sur cette petite fille qui a grandi solitaire parmi les grandes figures de Bloomsbury, qui a vécu bien malgré elle la vie quasi communautaire de ces fantasques intellectuels des années vingt et assisté à leurs expériences sexuelles. À travers la vie d'Angelica, c'est bientôt la sienne propre que contemple Yaël, celle de ces enfants des années soixante-dix curieusement frustrés que leurs parents n'aient pas renoncé à leurs utopies. Le constat est acide et sans illusion. Le Journal de Yaël Koppman devient alors, sous couvert d'un aimable récit autobiographique, le roman au vitriol d'une génération qui, si l'on en croit l'exemple de Yaël, finira par trouver son équilibre. 

Mon avis : 

Je me sens bien seule aujourd'hui .... avec mon avis négatif sur ce livre. Tous les avis que j'ai lus sont vraiment positifs, il ne devait pas être fait pour moi voilà tout.

Écrit sous la forme d'un journal, comme le dit le titre, je pensais que cela allait me plaire. Mais j'ai coincé dès la page 23 avec ces quelques lignes qui m'ont paru bien embrouillées : "Angelica Gartnett [...] Son père, Duncan Grant, était peintre. A l'époque où elle fut conçue, il vivait avec sa mère, Vanessa Bell, peintre elle aussi, et avec David Garnett, écrivain et amant de Duncan, qui deviendrait plus tard le mari d'Angelica [...]. Le parrain d'Angelica était Maynard Keynes, sa tante Virginia Woolf. Son père, avant d'être l'amant de son futur mari, avait été celui de Keynes, de Lytton Strachey et d'Adrian Stephen, le frère de Vanessa et Virginia". p.23
Yaël veut écrire un roman chick-litt sur Angelica Gartnett, dès qu'il en était question j'étais complètement perdue et avais beaucoup de mal à savoir qui était qui.

D'un autre côté on découvre la vie de Yaël, les trentenaires en mal d'hommes, style Bridget Jones, ne m'attirent pas particulièrement et j'ai eu bien du mal à m'attacher à ce deuxième pan de l'histoire. 

Donc, entre ces deux thèmes du livre je dois bien avouer que je l'ai lu en diagonale après avoir vainement essayé de m'accrocher. 

Allez lire d'autres avis c'est impératif ! chez Brize, Malice, Clarabel, Florinette, Papillon. 

Livre emprunté à la
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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 04:20
Fruits & légumes d'Anthony Palou  Quatrième de couverture :
"Toute ma vie, il y a eu un décalage horaire entre papa et nous. Mon père était "primeurs"."
Entre dérision et nostalgie, cette chronique sociale et familiale est avant tout la radiographie d’une époque. Celle des années 70, période d’insouciance qu’Anthony Palou évoque à travers l’essor et le déclin d’une "dynastie fruitière", qui a fui l’Espagne franquiste pour faire fortune en France avec sa soupe catalane.
Sur un ton à la fois drôle et lucide, l’auteur de Camille, prix Décembre, exprime avec tendresse la pudeur des déclassés, la fin des illusions et l’apprentissage de la mélancolie.

Mon avis :

152 pages vite lues. Un livre qui se passe durant les années de mon enfance et de celle du narrateur, les années 70 !  Ça fait 40 ans ???? Ben oui ! Et entendre parler d'Ami 6 et autres voitures de l'époque est assez amusant, ainsi que de coins de Bretagne que je connais : Bénodet, Sainte-Marine, Beg Meil.

Mais le sujet principal du live est bien sûr "les fruits et légumes" puisque le père du narrateur est maraîcher, il l'est devenu "héréditairement" sans avoir le sens du commerce.
"Disons qu'il continua l'œuvre de mon grand-père comme un fils de militaire perpétue la tradition sans y croire. C'est parce que les curés n'ont pas d'enfants qu'ils sont en perte de vitesse". p.29
Le narrateur nous raconte donc l'histoire de son grand-père espagnol arrivé en France en 1936 puis celle de son père.

J'ai découvert avec intérêt le milieu des halles, des marchés, leur métier n'est pas facile et les déboires vont arriver, surtout pour le père. C'est aussi l'époque de la naissance des supermarchés au détriment des petits commerçants. 

La façon dont sont racontés certains passages fait parfois sourire, ce livre est agréable à lire et vite lu.

Le livre est découpé en chapitres dans lesquels on retrouve des mini-chapitres voire des paragraphes numérotés, je ne sais trop comment les nommer. Du coup on a vraiment l'impression de vite avancer dans la découverte de cette famille.
En revanche la fin m'a surprise par sa brutalité, pas dans les faits mais c'est juste que tout d'un coup le livre est terminé, sans qu'on le sente venir, sans qu'il y ait vraiment une fin. Bizarre.

Je ne sais pas si je me souviendrais de ce livre mais j'en ai apprécié sa lecture.

 

Livre emprunté à la
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    catégorie végétal

 

 

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 04:20

Voici ma participation au dimanche en photo de Liyah.

 

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La semaine dernière, maman et deux de ses sœurs sont allées au Zoute en Belgique pour faire un "pélerinage" souvenir sur le lieu de vacances passées là-bas dans leur jeunesse.

Merci Monette pour cette photo, je peux ainsi participer au dimanche en photo grâce à toi !

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 04:20

 

La Panne meurtre ou accident

 Quatrième de couverture :
« ... Le ciel était toujours aussi beau, les oiseaux continuaient à chanter, la vie au-dehors des murs de l'hôtel coulait douce et insouciante, mais voilà maintenant que je ne regardais plus le monde avec autant de gaîté. Une jeune demoiselle, belle comme un cœur, vive et gaie, s'était écrasée contre le sol en pierre de la terrasse, s'était éteinte devant moi, ses yeux emplis de crainte au fond des miens, sa main serrée comme un étau sur la mienne. Je ne serais plus jamais la même... »

Désireuse de s'éloigner de son train-train quotidien, Estelle Salvador fait une pause d'une semaine à La Panne, où elle passait ses vacances lorsqu'elle était enfant. Mais son séjour ne sera pas de tout repos. Une jeune femme meurt sous ses yeux. Accident ? Suicide ? Meurtre ? Oubliant le danger, notre apprentie détective et sa famille décident de mener leur propre enquête. Ils vont aller de révélations en révélations ...

Mon avis :
Après avoir lu La maison du parc Barbieux du même auteur, me voici maintenant partie en vacances sur la côte belge et cela me rappelle des souvenirs. C'est vraiment amusant de lire un livre dans lequel on peut reconnaître les lieux et retrouver des mots bien particuliers à cette région.

Cette enquête se passe un an après la précédente et cette fois-ci Estelle est en vacances en famille, elle n'est plus à la recherche d'un homme puisqu'elle en a ... deux et qu'entre les deux son cœur balance, la pauvre !

Elle m'a moins énervée que dans le précédent roman, je l'ai trouvée plus sympathique.

Cette fois-ci elle est aidée par sa tante, sa mère, sa nièce, son neveu, une amie... une véritable affaire de famille. Chacun y va de sa petite investigation.

Un bon moment de lecture avec un petit bémol pour la fin que j'ai trouvée un peu too much !

Livre voyageur de Liliba : Merci !

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 04:20
La double vie d'Anna Song  Quatrième de couverture :
Anna Song, "la plus grande pianiste vivante dont personne n'a jamais entendu parler", laisse derrière elle une œuvre discographique sans précédent. Malgré la maladie, et clans un engagement du corps et de l'âme proche de la ferveur, elle a voué ses dernières années à arpenter, avec une indéfectible justesse, un territoire musical des plus vastes. Gardien du temple et architecte de la légende : Paul Desroches, son mari et producteur. Mais tandis que celui-ci raconte la femme aimée, de l'émerveillement enfantin aux patientes années d'une vie partagée dans une sorte de culte de la beauté, le scandale éclate.

Anna Song n'aurait pas enregistré une seule note de sa discographie, pillée ailleurs par l'amoureux démiurge. Imposture, falsification, trahison : au concert de louanges nécrologiques succède le tapage de l'opprobre, relayé par des médias d'autant plus féroces que bernés. C'est un fascinant jeu de miroirs qu'orchestre ici Minh Tran Huy dans un deuxième roman qui confirme l'avènement d'un univers d'une impressionnante cohérence. Où l'on retrouve l'omniprésente absence du pays des origines, le Viêtnam, dont la réalité floutée par le temps et l'éloignement s'enracine clans un silence peuplé de contes. Et aussi cette petite musique envoûtante, cette opacité impavide plus généreuse qu'elle ne s'affiche, qui évoque irrésistiblement les eaux calmes d'un lac, sous lesquelles se jouent - et demeurent - les plus violentes tragédies. Tombeau du premier, du grand, de l'unique amour, entre ode et plaidoyer, La Double Lie d'Anna Song révèle et défend la folie d'aimer, mais aussi le droit à inventer des vies à la hauteur de cette folie.

Mon avis :

J'ai beaucoup aimé cette histoire d'amour et de musique.

C'est bien écrit et très agréable à lire. Les chapitres alternent les articles posthumes suite à l'imposture d'Anna Song ainsi que l'histoire de sa vie, de leur vie racontée par son mari.

Une belle relation amoureuse, un amour incroyable qui va aller loin.

J'ai beaucoup aimé la façon de raconter la musique d'Anna et c'est un livre qui aurait gagné à être lu en écoutant des enregistrements de musique classique mais je n'y ai pensé qu'après.

Et le petit plus de ce livre c'est que je ne m'attendais pas du tout à la chute de l'histoire et ça j'adore !

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