19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 04:20
Le tiroir à cheveux Quatrième de couverture :
Il ne fallait pas parler de ma voisine, même dans son dos. Il ne fallait pas lui parler non plus. Elle n'avait pas demandé la permission d'être enceinte. D'ailleurs, elle faisait plein de choses sans autorisation. Je crois qu'elle sautait par-dessus le portail, quand elle n'avait pas encore le droit d'avoir une clé. Moi non, mais je me cachais pour écrire, parce que je n'étais pas bien sûre que ce soit permis. Je regardais le fils de ma voisine, tout de travers dans sa poussette, les orbites pleines de soleil, en me demandant quel interdit l'empêchait de bouger, de voir, d'entendre, de parler, de lever une main pour s'essuyer la bouche.

Je regardais sa mère et je l'admirais en cachette. Je l'admirais d'avoir fait ça, un gosse défendu qui bavait et coinçait tout le ciel dans ses yeux. J'avais honte aussi, parce que le pauvre. J'ai écrit cette histoire sans aucune autorisation, même pas la sienne, même pas celle de sa mère, juste pour dire en retard il est beau ton fils, en traversant la cour avant d'ouvrir le portail.  

Mon avis :

Une très jeune femme, deux enfants dont un que l'on devine différent. Un peu à la fois j'ai découvert la vie de cette maman, elle a une fascination pour les cheveux, ceux qu'elle lave dans un salon de coiffure et ceux de ses enfants qu'elle ne veut pas couper.

Une histoire touchante, une belle relation, même si elle n'est pas facile, avec son fils différent, et des décisions à prendre concernant un placement.

Des parents qui décident pour elle en grande partie car elle était mineure quand elle a eu son premier bébé.

Il n'est pas très facile de parler de ce livre, on peut certainement l'aimer ou le détester, de mon côté ce fût positif.

J'ai aimé l'évolution de cette jeune femme vis à vis de ses enfants et de sa vie, mais cela ne va pas être simple pour elle comme nous le laisse entendre la fin du livre.  

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    Catégorie objet

 

 

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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 04:20
La petite dame en son jardin de Bruges Quatrième de couverture :
"Cette nuit, l'envie m'est venue d'aller dire bonjour à ma grand-mère. Ce n'est pas la première fois qu'elle me manque, mais je n'avais jamais éprouvé avec autant d'insistance le besoin de la revoir. Comme elle est morte depuis près d'un demi-siècle, j'ai pensé qu'il était préférable de me mettre en route tout de suite."

Mon avis :

Un vieux monsieur rend visite à sa grand-mère, en pensée car il se rappelle tous les souvenirs de ses étés d'enfance passés avec elle.

Une histoire douce et nostalgique. Ce petit garçon va tenir compagnie à sa grand-mère durant plusieurs étés après son veuvage.

Leur relation est empreinte de tendresse et de petits rituels qui rythment l'été, les devoirs de vacances, la lecture, les souvenirs racontés par la grand-mère.

Certains passages font sourire car sa grand-mère a parfois un petit grain de fantaisie.

Une jolie histoire et un bel hommage de l'auteur à sa grand-mère. 

 

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   Catégorie végétal
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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 04:20
Le chien qui riait  Quatrième de couverture :
Trois destins ordinaires d'ados basculent dans la haine, le crime, et la violence. Leur route va croiser celle de Stark, un flic cassé par la vie que ce nouveau monde criminel horrifie. Et ce ne sont ni les sentiments amoureux qu'il ressent pour la mère de l'un d'eux, ni son expérience de flic confronté depuis toujours à l'extrême violence d'un monde qui n'en finit pas de se perdre, qui vont l'aider à garder la foi dans l'humanité. Heureusement il y a le chien. Après Le Cinquième Jour et Mauvais frère, Le chien qui riait démontre une fois de plus le talent de Maud Tabachnik pour explorer le cheminement imprévisible et effroyable de ceux qui ont perdu le sens de ce qui fait un être humain.

Mon avis :

Dans ce genre de livre, je n'ai pas tout à fait les mêmes goûts que mon homme, cela fait deux fois qu'il aime un livre et que celui-ci ce m'enthousiasme pas trop.

Dès le début on sait qui est le tueur et on va suivre son évolution dans l'horreur, on suit également l'enquête de l'inspecteur Stark qui a été malmené par la vie.

Un livre facile à lire qui alterne la vie du jeune tueur et celle du flic. Un livre "spécial suspense" comme il est indiqué sur la couverture et de ce côté là j'ai été déçue, pas de suspense haletant mais plutôt une analyse des personnages et de leur évolution.

Le passage que j'ai préféré : quand le flic rencontre un chien qui lui adoucit la vie.

Je n'ai pas passé un mauvais moment mais je m'attendais à autre chose. 

Quelques scènes très sanglantes et cruelles.

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   Catégorie animal

 

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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 04:20
Les romans n'intéressent pas les voleurs

 Quatrième de couverture :

Son métier, aux éditions Hurtebise, c'est de « mettre en forme » les romans des autres. Essentiellement, en l'occurrence, les innommables salades de Bannister, le best-seller maison. Qui produit à la chaîne des romans vaguement politiques, vaguement policiers, vaguement sentimentaux et totalement nuls. C'est à lui, Jérôme, de leur donner du ton, du style, de les faire tenir debout.
Mais sa vraie passion, à Jérôme, c'est Santenac. 

L'auteur génial et météorique de trois livres, au début des années 1960, racontant des histoires de famille. Trois livres et puis plus rien : Santenac, soudain, a disparu, plus personne ne l'a jamais revu.

Avec Jean-Paul, son ami d'enfance devenu journaliste, Jérôme n'a qu'une idée en tête : retrouver Santenac. Et lire les livres qu'il a forcément écrits, au fin fond de sa retraite. Justement, ce matin-là, alors qu'il vient de prendre livraison du nouveau manuscrit de ce crétin de Bannister, Jérôme reçoit un coup de téléphone de Jean-Paul : il a retrouvé Santenac, il sait où il se cache. Ils vont tout de suite partir, quelque part dans un coin perdu de l'Aveyron, pour enfin réaliser leur rêve. Santenac, pour l'un et l'autre, est beaucoup plus qu'un simple écrivain. Ses livres sont une question de vie ou de mort. Surtout pour Jérôme, qui y trouve ce qu'il n'a jamais eu : une famille. Car les livres, c'est la vie. Et lire, c'est vivre. Mais le rideau va se déchirer. Santenac n'est peut-être pas à la hauteur du rêve. À la hauteur de la passion des livres…

Mon avis :

Je ne vais pas pouvoir vous en dire beaucoup plus que la quatrième de couverture car cela vous gâcherait le plaisir de la lecture de ce roman.

Je me suis régalée avec ce livre qui parle de livres, d'auteurs, de lecteurs, de la façon dont le lecteur peut être vu par un auteur : surprenant !
"Chez Pierre, c'étaient des livres amis qui réchauffaient le cœur. Tout un fouillis comme un grenier rempli de foin, où on avait envie de se rouler pour le plaisir. Des livres comme un vieux rêve d'enfance." p.28

Ce livre est vite lu et très agréable à lire, le personnage principal est vraiment sympathique.

J'ai trouvé que l'histoire et la chute, qui explique le titre du livre, sont originales.

J'ai passé un très bon moment de lecture.

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    Catégorie métier
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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 04:20
Le premier été Quatrième de couverture :
Deux sœurs se retrouvent une fin d'été en Haute-Saône, afin de vider la maison de leurs grands-parents décédés. Depuis longtemps, Catherine, la benjamine, se tient loin de ce village... Pourtant, chaque coin de rue ou visage croisé font surgir en elle des souvenirs précis et douloureux. Sa sœur aînée a fondé une famille, elle, non. Devenue libraire, c'est une femme solitaire.

À l'adolescence déjà, elle passait ses heures dans les livres.

Mais pour ce qu'elle a vécu ici, l'été de ses seize ans, l'été de sa lecture du Grand Meaulnes, «il n'y a pas eu de mots. Il n'y en a jamais eu, ni avant, ni après. C'est quelque chose qui ne ressemble à rien d'écrit.» Quinze années ont passé, et personne n'a jamais su quel secret la tenaillait depuis tout ce temps, le drame dont elle a peut-être été coupable.

C'est une histoire d'innocence et de cruauté que nous raconte Anne Percin. Sensuelle et implacable à la fois, douce-amère comme tous les crève-cœurs de l'enfance.  
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Dès le début de ce livre on apprend qu'il y a eu un drame quinze ans auparavant. Pour la curieuse et l'impatiente que je suis, il m'a fallu attendre pour savoir ce qui s'était passé durant cet été là.

Catherine va raconter à sa sœur ce qu'elle n'a jamais dit à personne en profitant d'un moment où elles ne sont que toutes les deux pour vider la maison de leurs grands-parents.

J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteur, sa façon de raconter les évènements. Sans rien dévoiler on a l'impression que la tension monte mais je me demandais bien vers quels chemins elle voulait m'emmener.

"Essaie de te dire qu'il s'agit d'une histoire que tu ne connais pas, avec des gens qui ne te concernent pas. Je sais, ça demande un effort d'imagination. C'est pour ça que j'en rajoute un peu, que je brode, que je prends mon temps. Pour que tu sois prise dans mon histoire et que tu ne voies rien d'autre que ça." p.78
Ce petit extrait reflète exactement ce que j'ai ressenti, j'étais prise dans l'histoire. J'avais peur que le mystère ne soit pas à la hauteur de mon attente, car oui il faut attendre pour connaître le fin mot de ce drame. Alors moi je dis bravo à l'auteur car j'ai vraiment été touchée par cette histoire, par ce qui est arrivé, par cette ado qui se cherche.

J'ai aussi beaucoup aimé ces chansons qui sont également celles de mon adolescence, ces vacances à la campagne qui m'ont rappelé les miennes. 

Et la fin .... c'est triste mais j'ai beaucoup aimé, vraiment.

Les avis de Clara, Sylire et Val.

Mes coups de cœur ne sont pas très nombreux, alors ce livre, lu samedi, passe avant les autres billets qui sont déjà prêts !

 

Lu en partenariat avec
Librairie dialogues

MERCI !

 Rentrée littéraire 2011
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10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 04:20
Come-back Quatrième de couverture :
Enfin ! Pour la première fois, Hélène Lancel, la star du cinéma français, a accepté un rôle à la télévision. Producteurs, scénario, décors, casting : tout est bouclé en un temps record.
Le jeune Jamal, un inconnu choisi pour le premier rôle masculin, fait chavirer les cœurs, de la chargée de casting à l'assistante de prod. Même Hélène...
Et le tournage démarre dans l'effervescence. C'est alors que survient un premier incident. Puis un autre, plus grave, et encore un autre. Quelqu'un est prêt à tuer pour que ce film ne se fasse pas. Quelqu'un qui a préparé son coup de très très loin...

Mon avis :

Ce livre m'a permis de découvrir les coulisses de la création d'un film de télévision. Il y est question d'écriture, de financement, des acteurs, des réalisateurs, des fans et de tout un monde qui grouille autour de ce film.  J'ai trouvé très intéressant de découvrir toute cette mise en place dans un environnement dont nous ne voyons que la face visible en regardant la télévision.

La tension monte d'un cran (léger) quand le tournage commence mais il n'y a pas eu assez de suspense à mon goût et l'intrigue est assez légère et peu présente.

La vedette de ce téléfilm est représentée comme un être tourmenté et ses traits paraissent excessifs, cela reflète pourtant certainement la réalité de certains acteurs.

De nombreux excès sont évoqués, vêtements de luxe, drogue, alcool, faiblesses psychologiques, ce n'est franchement pas un monde qui m'attire. Les relations sont souvent superficielles même si certains liens d'amitié durable se créent parfois.

Un premier roman qui paraît prometteur.

Livre lu en partenariat avec XO Editions grâce à Géraldine : Merci !

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 04:20
Son corps extrême Quatrième de couverture :
Gravement ébranlée dans sa chair par un accident de voiture peut-être suicidaire, Alice, bientôt cinquante ans, gît sur un lit d'hôpital, désamarrée du monde et de sa propre histoire mais bien loin du pays des merveilles. Aux prises avec les folles et microscopiques mutations à l'œuvre dans son corps détruit, elle va, pendant deux ans, traverser l'expérience impitoyable de la cicatrisation, de la musculation, de la rééducation, de la reconstruction, luttant nuit après nuit pour reprendre possession du langage perdu, "jusqu'à ce que de la vie s'accumule dans un coin".

C'est auprès d'un autre patient - car qui d'autre sinon ? - qu'elle trouvera l'envie de se relever, sous son regard qu'elle réapprendra à marcher, et grâce à leurs conversations qu'elle pourra faire resurgir, pour l'expulser enfin, la catastrophe inaugurale. Convoquant l'absurde et profane mystère de toute incarnation, Régine Detambel, à travers la trajectoire médicalisée d'un être renaissant de ses cendres dans un corps renégocié, cartographie avec une autorité inspirée le fascinant territoire de notre mortalité. Avec ce stupéfiant voyage au cœur du tyrannique chantier organique dont tout hôpital est le théâtre, elle propose un roman puissamment initiatique sur la sculpture du vivant et sur les séductions qu'il arrive à la mort et à la maladie d'exercer quand l'existence et l'insupportable douleur d'être né requièrent d'instaurer un rapport inédit à soi-même et à la vérité.  

Mon avis :

Pas facile de parler de ce livre. J'en ai beaucoup aimé certains passages et moins d'autres.

C'est un peu décousu car on découvre peu à peu la vie d'Alice récente ou plus ancienne d'un côté et d'un autre côté son séjour à l'hôpital après un accident de voiture. Parfois elle parle d'elle puis de sa mère dans la foulée par exemple, c'est un peu confus pour moi.

Certaines phrases me parlent, comme celle-ci :"Alice aimait écouter Mme Oswald, ses histoires étaient le prolongement verbal des caresses maternelles qu'elle n'avait pas vraiment connues, ou pas assez longtemps, ou brutalement interrompues. Les histoires écoutées par le corps meurtri ont valeur de caresse". p.51

Dans l'ensemble une narration trop recherchée pour moi, je préfère quand c'est plus simple et plus accessible. J'ai beaucoup aimé le début et je me suis un peu lassée au fil de ma lecture.  

Allez lire les avis enthousiastes de Clara, Liliba et Leiloona ! 

 

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un minimum.

Lu en partenariat avec
Librairie dialogues

MERCI !

 Rentrée littéraire 2011
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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 04:20

 

 

Nuits retroussées à Venise

Quatrième de couverture :

Quand les rues de Venise dévoilent leurs secrets, et que sur les eaux d’orage se reflètent les jupons des « petites filles » pas sages… Femmes enfants, un sucre d’orge dans le cœur, elles s’en vont se faire retrousser dans les palais en ruines. Et nourrir les ogres de quelques rats qui se sont échappés de leurs nuits les plus chaudes. Parfois, à l’ombre de Barbe Bleue, elles savourent avec délice les interdits de la vie et s’en servent pour coudre leurs fantasmes. Au détour des ruelles les plus sombres, on peut encore les rencontrer aujourd’hui. Si elles vous sourient, méfiez-vous ! Surtout ne les suivez pas… Elles ne sont que fantômes aux yeux de chats et aux mains de porcelaine. Parfois, elles se glissent dans le corps des poupées cassées et se cachent sous vos draps. Parce qu’à Venise tout est sorcellerie…

Mon avis :

Voici un recueil de 14 nouvelles dont le sous-titre est  "Petits meurtres étranges et ér*tiques".

Soyons clairs et honnêtes : étranges oui, ér*tiques non mais alors pas du tout du tout, pour moi ér*tique cela doit être émoustillant ce qui n'est pas du tout le cas ici.

Se faire vi*oler par un fantôme translucide avec une v*erge glacée ? Hmm, pas très ér*otique à mon goût, l'amour carnivore et bestial non plus, les adeptes du marquis de Sade non plus.

Je comptais sur ce côté érotique pour faire passer le côté étrange de ces nouvelles mais c'est râté, c'est de la publicité mensongère !

Le titre de ce livre laissait présager des scènes bien plus chaudes et sensuelles que ce que j'ai pu lire ici, toutes ces histoires sont vraiment très étranges, de ce côté là nous sommes servis. Pour deux ou trois phrases érotiques dans un livre de 120 pages  il est un peu exagéré de le vendre comme tel. Je l'ai fini car c'était un partenariat car sans nul doute en temps ordinaire je l'aurais abandonné sans regret.  

Livre reçu grâce à un partenariat avec les agents littéraires : Merci !  

 

 Le premier mardi  Challenge petit bac
 Catégorie sport/loisir !
Challenge la nouvelle
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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 04:20
La vraie vie Les projets Le vaste monde
Le déluge Les révolutions  

Résumé :

Mariette et Manu Larssinet (Larcenet ?) quittent la banlieue parisienne pour une vie saine à la campagne. Mais Manu a du mal à s'habituer à la vie rurale. 

Mon avis : 

Manu est un vrai citadin qui arrive à la campagne, toujours branché avec son téléphone ou son ordinateur.

Au fil des tomes nous découvrons des scènes plus ou moins cocasses sur les voisins, les animaux, la nature, la vie de couple, la boulangère et la fameuse Mme Mortemont !!!!!

J'ai eu plaisir à découvrir cette série que j'ai pu emprunter en une seule fois à la bibliothèque.

Mes tomes préférés sont le 3 et le 4, ce sont ceux qui évoquent plus particulièrement la future paternité de Manu ainsi que ses débuts de père de famille. Je les ai trouvés vraiment très savoureux, et c'est à la lecture de ces deux tomes que j'ai vraiment ri alors que pour les autres je me suis contentée de sourire (ce qui est déjà bien !).

J'ai bien aimé aussi la façon d'aborder la mise en abyme (avec Manu et Ferri), j'ai maintenant bien compris ce que c'est (contrairement à Manu !).

En revanche je n'ai pas tellement aimé le dernier tome qui nous relate essentiellement les élections du maire du village.

Globalement une belle découverte, donc, grâce aux blogueuses une fois de plus ! 

Livre emprunté à la
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3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 04:20

masse critique sept 2011

Masse critique revient le jeudi 8 septembre pour une 13ème édition.

 A cette occasion, Babelio vous propose de recevoir gratuitement un livre parmi une large sélection de près de 200 livres de 60 maisons d’édition différentes !

  Comme pour chaque opération, le principe est le même : vous recevez l’un des livres de votre choix chez vous et vous engagez par la suite à publier votre chronique sous un mois sur Babelio et sur votre blog.

 La liste des ouvrages sera consultable à partir du mardi 6 septembre à l’adresse suivante : http://www.babelio.com/massecritique.php

 

 

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