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Quatrième de couverture :
On rit. C'est étonnant parce que, pris séparément, aucun d'entre eux ne pensait que la situation les pousserait à l'hilarité - or, de façon tout à fait inattendue, ils font contre mauvaise fortune bon coeur et les voilà qui s'esclaffent et qui se mettent à papoter, retrouvant les réflexes de cour de récréation, mais avec cet air de liberté unique qu'apporte avec lui l'Arbalète filant vers Paris.
1975. Tandis que le pays subit les effets du premier choc pétrolier, que les femmes revendiquent leurs droits et que la mixité s'impose dans les cours de récréation, rien ne semble devoir troubler le quotidien des familles d'instituteurs du groupe scolaire Denis-Diderot. À moins que le train du changement ne s'engouffre tout à coup dans les classes et les corps et ne redessine les frontières d'un monde très différent.
Mon avis :
L'école primaire dans les années 70 : je l'ai connue
Le passage à la mixité en sixième : je l'ai connu
Cela me paraît très....très loin évidemment. Et pourtant de nombreux passages m'ont rappelé des souvenirs aussi bien dans les musiques évoquées que dans la société de l'époque.
Je suis un peu déçue car je n'ai pas accroché à cette histoire, je ne me suis pas attachée aux personnages.
La description de la vie de cet ensemble scolaire m'a paru longue et ne m'a pas trop intéressée, ils vivaient vraiment les uns sur les autres, ensemble aussi bien dans la journée que dans leur lieu d'habitation, pas beaucoup de liberté ni d'intimité.
Il faut attendre presque la moitié du livre avant que cela bouge un peu et que ça tourne un peu en vaudeville.... mouais...
J'aime toujours l'écriture de l'auteur mais pas trop ce roman, je vais maintenant attendre le prochain.
Livre de ma