22 septembre 2019 7 22 /09 /septembre /2019 18:31

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Quatrième de couverture :
On rit. C'est étonnant parce que, pris séparément, aucun d'entre eux ne pensait que la situation les pousserait à l'hilarité - or, de façon tout à fait inattendue, ils font contre mauvaise fortune bon coeur et les voilà qui s'esclaffent et qui se mettent à papoter, retrouvant les réflexes de cour de récréation, mais avec cet air de liberté unique qu'apporte avec lui l'Arbalète filant vers Paris. 

1975. Tandis que le pays subit les effets du premier choc pétrolier, que les femmes revendiquent leurs droits et que la mixité s'impose dans les cours de récréation, rien ne semble devoir troubler le quotidien des familles d'instituteurs du groupe scolaire Denis-Diderot. À moins que le train du changement ne s'engouffre tout à coup dans les classes et les corps et ne redessine les frontières d'un monde très différent.

Mon avis : 
L'école primaire dans les années 70 : je l'ai connue
Le passage à la mixité en sixième : je l'ai connu
Cela me paraît très....très loin évidemment. Et pourtant de nombreux passages m'ont rappelé des souvenirs aussi bien dans les musiques évoquées que dans la société de l'époque.

Je suis un peu déçue car je n'ai pas accroché à cette histoire, je ne me suis pas attachée aux personnages.
La description de la vie de cet ensemble scolaire m'a paru longue et ne m'a pas trop intéressée, ils vivaient vraiment les uns sur les autres, ensemble aussi bien dans la journée que dans leur lieu d'habitation, pas beaucoup de liberté ni d'intimité.

Il faut attendre presque la moitié du livre avant que cela bouge un peu et que ça tourne un peu en vaudeville.... mouais...

J'aime toujours l'écriture de l'auteur mais pas trop ce roman, je vais maintenant attendre le prochain.

Livre de ma

 

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18 novembre 2018 7 18 /11 /novembre /2018 19:57

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Quatrième de couverture :
Coney Island, là où New York se jette dans la mer, est un endroit enchanteur l'été, avec sa fête foraine légendaire, et fantomatique l'hiver quand les manèges sont à l'arrêt. C'est là qu'Angela et June, 16 ans, ont grandi ensemble. Deux jeunes filles vives et joyeuses, que rien ne destinait à s'entendre, et que rien ne peut séparer. 
Mais une nuit, la nuit où toute la jeunesse new-yorkaise pleure la mort de John Lennon, leur vie prend un tour inattendu : Angela, par un mélange de fatalisme et d'innocence, accepte de son petit ami ce qu'elle ne voulait pas vraiment. Parce qu'elle n'ose pas en parler à June, son silence devient un secret... Et leur destin à toutes les deux en sera changé à jamais.

Mon avis 
Très déçue par ce roman.... Je n'ai pas réussi à m'attacher aux deux héroïnes et à leurs vies.
En fait ce n'est pas tout à fait ça, j'ai aimé la première partie et la dernière, celle de la jeunesse et celle de la maturité qui arrive au moment du 11 septembre 2001.

Entre les deux j'ai trouvé le temps bien long et j'ai parfois accéléré ma lecture.

Tant pis...

Roman emprunté à la

 

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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 19:36

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Quatrième de couverture :
« Je disais souvent à Justin et Tommy qu'ils étaient comme deux étoiles dans ma vie. Quand parfois j'étais découragée, je les regardais. Et je vous jure, Mrs Betsy, que, même noires, elles brillaient... » 

Philadelphie, 1776. George Washington commande à Betsy Ross le tout premier drapeau des futurs États-Unis d'Amérique. Sa domestique, Angela Brown, y adjoint en secret un hommage à la communauté noire : une étoile de cinq branches de coton noir, glissée sous l'une des étoiles blanches. 

Douvres, 1944. Le soldat Lincoln reçoit une lettre révélant les mémoires d'Angela Brown. L'étoile qu'elle mentionne existerait-elle vraiment ? L'Histoire serait-elle à réécrire à la lumière de cette révélation ? De Paris libéré aux Ardennes enneigées s'engage pour trois soldats afro-américains un dangereux périple à l'issue inattendue... 

Accordé à la puissance graphique de Steve Cuzor, l'intense scénario d'Yves Sente se joue des clichés guerriers pour mieux mettre en lumière les déséquilibres d'un monde aveuglé par les idéologies les plus sombres. Cinq branches de coton noir est un récit à la résonance étrangement actuelle.

Mon avis : 
Question pratique cette BD n'est pas facile à lire, elle est grande et surtout elle est lourde. 

Je ne suis pas une grande fan des BD sur un thème historique.
Ici j'ai trouvé les dessins très sombres et l'histoire un peu longue, j'ai eu du mal à m'y plonger. 

J'ai beaucoup aimé les portraits qui sont insérés en début de chaque chapitre.

J'avoue que je l'ai terminée un peu en diagonale.... et mon mari qui aime les BD historiques a apprécié cette lecture mais a été très déçu par la fin. Dommage.

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BD empruntée à la 

 

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16 octobre 2018 2 16 /10 /octobre /2018 18:49

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Quatrième de couverture :
Oublie-t-on jamais son premier amour ?

Adrien a décidé de mourir. Mais alors qu'il s'apprête à avaler un mélange de médicaments, resurgit le souvenir de Nina, une jeune Italienne avec qui il a passé, enfant puis adolescent, des vacances lumineuses sur la côte amalfitaine. Repoussant son 
suicide d'un soir, puis d'un autre, il lui écrit une longue lettre qui devient, au fil des nuits, la bouleversante déclaration d'amour qu'il n'a jamais osé lui faire. Il ne se doute pas que ses mots toucheront plusieurs existences : la sienne et celle de Nina d'abord, mais également celle de tous ceux qui, de près ou de loin, seront émus par son écriture.

Mon avis :
Je n'ai pas tellement aimé le début de ce livre, cette lettre à rallonge qu'Adrien écrit à Nina m'a paru longue, mais loonnngue .... et pourtant je me suis parfois laissée emporter par la nostalgie des étés italiens d'Adrien.

J'ai plutôt bien aimé le milieu de ce roman, avec des personnages attachants, de beaux sentiments, de la tendresse,de l'amour.

J'ai détesté la fin, très facile, improbable, je n'y ai pas cru du tout. J'ai même lu les 50 dernières pages légèrement en diagonale.

Je m'attendais à mieux d'un auteur que j'aime bien et je ne pense pas que mon avis vous donne très envie de le lire...

PS : un extrait qui m'a parlé, un éditeur qui parle à une petite jeune qui travaille pour lui "Ensuite, et c'est la chose principale, donne ton avis; est-ce que ça te plaît ? Est-ce que ça te touche ? Est-ce que tu aurais envie de lire ce livre, une fois le travail d'écriture abouti ? C'est ton sentiment que je veux. C'est ça qui compte pour moi." p.182

 

Livre du club de lecture
avec mes copines

 

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11 septembre 2018 2 11 /09 /septembre /2018 18:30

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Quatrième de couverture :
 Les tueurs voient l'enfer que nous avons sous nos pieds, tandis que nous, nous ne voyons que les fleurs... "

Dans les montagnes sauvages du Frioul, en Italie, le commissaire Teresa Battaglia, la soixantaine, la langue acérée et le cœur tendre, est appelée sur les lieux d'un crime pour le moins singulier : un homme a été retrouvé mort, les yeux arrachés. À côté de lui, un épouvantail fabriqué avec du cuivre, de la corde, des branchages... et ses vêtements ensanglantés.
Pour Teresa, spécialiste du profilage, cela ne fait aucun doute : le tueur frappera à nouveau. Elle va devoir rassembler toute son énergie et s'en remettre à son expérience pour traquer cette bête humaine qui rôde dans les bois. Si tant est que sa mémoire ne commence pas à lui faire défaut... 

Mon avis : 
400 pages dont la première moitié m'a paru bien longue.
Les personnages sont bien décrits mais  j'aurais aimé être entraînée par cette enquête alors que je me suis sentie à la traîne, j'ai peiné à avancer.
La deuxième moitié voit l'enquête avancer un peu puis beaucoup et cela m'a mieux convenu. 

Teresa, la commissaire, est un peu hors norme, d'un style que l'on n'a pas l'habitude de voir dans les romans. Elle a des faiblesses, liées à son âge et à sa santé mais son expérience lui permet de trouver des pistes pour la résolution de cette enquête.

Un avis assez mitigé, dommage.

Merci à Babelio

tous les livres sur Babelio.com

Catégorie objet

 

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24 juin 2018 7 24 /06 /juin /2018 17:20

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Quatrième de couverture : 
"Je suis un promeneur de la nuit, malgré moi. Un somnambule, si vous préférez.
Vous croyez que je suis un cas à part, une exception ? Vous vous trompez. Regardez par la fenêtre et vous verrez : nous sommes des milliers, des millions ! 
Des milliers, des millions à nous croire éveillés alors que nous sommes, en réalité, les somnambules de notre propre vie."

Mon avis : 
Une histoire de somnambule qui aurait dû tout avoir pour me plaire...
Je suis en effet un peu concernée par le sujet, un peu car cela fait longtemps que je n'ai pas eu de "crise". La dernière en date a eu lieu il y a plusieurs années et je me suis réveillée assise sur mon lit après avoir essayé de plonger dans la piscine, mon crâne avait percuté le meuble près du lit....
Je parle aussi en dormant mais beaucoup moins qu'avant.

Et pourtant je n'ai pas tellement aimé cette BD, l'histoire plus exactement car les dessins m'ont plu.

J'ai trouvé que c'était confus, je ne m'y suis pas retrouvée, j'étais parfois un peu perdue dans les évènements. Comme un somnambule qui se réveille ? Peut-être !

Je suis déçue de ne pas avoir aimé le scénario car en général j'aime ce que fait Zidrou. 

Pas grave, j'ai encore des titres de cet auteur à découvrir.

 

BD empruntée à la

 

Catégorie déplacement/moyen de transport

 

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26 février 2018 1 26 /02 /février /2018 18:25

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Quatrième de couverture :
Cora, seize ans, est esclave sur une plantation de coton dans la Géorgie d’avant la guerre de Sécession. Abandonnée par sa mère lorsqu’elle était enfant, elle survit tant bien que mal à la violence de sa condition. Lorsque Caesar, un esclave récemment arrivé de Virginie, lui propose de s’enfuir, elle accepte et tente, au péril de sa vie, de gagner avec lui les États libres du Nord.
De la Caroline du Sud à l’Indiana en passant par le Tennessee, Cora va vivre une incroyable odyssée. Traquée comme une bête par un impitoyable chasseur d’esclaves qui l’oblige à fuir, sans cesse, elle fera tout pour conquérir sa liberté.

L’une des prouesses de Colson Whitehead est de matérialiser l’« Underground Railroad », le célèbre réseau clandestin d’aide aux esclaves en fuite qui devient ici une véritable voie ferrée souterraine, pour explorer, avec une originalité et une maîtrise époustouflantes, les fondements et la mécanique du racisme.
À la fois récit d’un combat poignant et réflexion saisissante sur la lecture de l’Histoire, ce roman est une œuvre politique aujourd’hui plus que jamais nécessaire.

Mon avis :
Grosse déception pour ce livre audio d'autant plus que c'est un sujet qui m'intéresse.
La vie des esclaves m'a toujours sidérée.
Ma première lecture sur le sujet a été Racines de Alex Haley quand j'étais ado, un roman marquant dans ma vie de lectrice.

Je n'arrive pas bien à déterminer si c'est l'histoire ou la voix de la lectrice qui m'a dérangée. Sans doute un peu des deux.

J'ai trouvé l'histoire assez décousue et en audio c'est moins facile qu'avec un livre entre les mains que l'on peut feuilleter.

Au début la voix de la lectrice ne me dérangeait et puis au fil de mon écoute je l'ai trouvée, comment dire, avec une sorte d'apitoiement dans le ton (je ne sais pas comment le dire autrement), une fausse douceur forcée.

Certains passages m'ont vraiment plu surtout quand l'histoire de Cora était racontée en continu sans interruption.

J'aurais peut-être préféré la version papier.

Le nom de l'auteur me fait sourire vu le sujet du livre : Whitehead ! 

L'avis très positif de Sylire (ici)

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Catégorie Moyen de transport

 

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14 janvier 2017 6 14 /01 /janvier /2017 20:20

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Résumé :
Sauvage, révolté, Jun promène ses quinze ans dans les rues de Tokyo. Sa rencontre avec un maître du sumo, qui décèle un «gros» en lui malgré son physique efflanqué, l’entraîne dans la pratique du plus mystérieux des arts martiaux. Jun découvre alors le monde insoupçonné de la force, de l’intelligence et de l’acceptation de soi. Mais comment devenir sumo quand on ne peut pas grossir?

La lecture sensible d'Eric-Emmanuel Schmitt est une invitation à partager le charme exotique de ce “roman d’apprentissage” mâtiné d’éthique zen.

 

Mon avis : 
Je ne suis pas fan des livres audio lus par leurs auteurs. C'est encore le cas ici puisqu'Eric-Emmanuel Schmitt lit son propre texte.

De cet auteur, j'avais aimé en audio Concerto à la mémoire d'un ange (ici) et beaucoup aimé Les mauvaises lectures (ici) lu pr Pierre Arditi.

Je suis désolée pour ce titre et cette histoire de sumo, j'aurais sûrement aimé ce livre avec un autre lecteur. La voix de l'auteur ne me plaît pas, je trouve qu'il a un ton un peu "précieux" qui ne me convient pas du tout.

Le personnage de Jun est pourtant assez touchant et il évolue tout au long de l'histoire. 

Dommage....

 

Livre emprunté à la

 

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 16:42

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Quatrième de couverture : 

Au milieu des années 1950, Mathilde sort à peine de l'enfance quand la tuberculose envoie son père et, plus tard, sa mère au sanatorium d'Aincourt. Cafetiers de La Roche-Guyon, ils ont été le coeur battant de ce village des boucles de la Seine, à une cinquantaine de kilomètres de Paris.

Doué pour le bonheur mais totalement imprévoyant, ce couple aimant est ruiné par les soins tandis que le placement des enfants fait voler la famille en éclats, l'entraînant dans la spirale de la dépossession. En ce début des Trente Glorieuses au nom parfois trompeur, la Sécurité sociale protège presque exclusivement les salariés, et la pénicilline ne fait pas de miracle pour ceux qui par insouciance, méconnaissance ou dénuement tardent à solliciter la médecine.

À l'âge où les reflets changeants du fleuve, la conquête des bois et l'insatiable désir d'être aimée par son père auraient pu être ses seules obsessions, Mathilde lutte sans relâche pour réunir cette famille en détresse, et préserver la dignité de ses parents, retirés dans ce sanatorium - modèle architectural des années 1930 -, ce grand paquebot blanc niché au milieu des arbres.

À travers un roman solaire, porté par le regard d'une adolescente rebelle heurtée de plein fouet par le réel, Valentine Goby poursuit son travail sur le corps dans l'Histoire, le rôle des femmes face à l'adversité, leur soif de liberté.

 

Mon avis : 

Après mon coup de cœur pour Kinderzimmer (ici) j'avais hâte de découvrir ce nouveau titre de Valentine Goby.

Ce roman est l'histoire de l'amour immense de Mathilde pour son papa alors qu'il l'appelle mon p'tit gars. Elle devient donc un garçon manqué et fait tout pour attirer l'attention de son père.

L'enfance de Mathilde est heureuse, entre sa famille et le Balto que tiennent ses parents. 

Puis vient la maladie, la famille éclatée, l'éloignement de leurs connaissances, la solitude et une charge bien lourde qui pèse sur les épaules de la jeune Mathilde.

J'ai beaucoup aimé toute la première partie puis j'ai peiné sur le deuxième tiers et mon intérêt est ensuite revenu.

Je n'ai pas réussi à me laisser toucher par tous leurs problèmes, je suis restée à l'extérieur de l'histoire et j'ai trouvé que c'était un peu long.

Cela reste néanmoins une belle histoire d'amour filial mais aussi d'amour entre les parents de Mathilde mais j'ai été gênée par l'insouciance des parents vis à vis de leurs enfants.

Un coup de cœur pour de nombreux lecteurs mais pas pour moi, hélas !

Pour voir des photos du paquebot dans les arbres qui a réellement existé car c'est tiré d'une histoire vraie, c'est par ici.

 Merci à Priceminister pour les matchs de la rentrée littéraire

 


      Catégorie spectacle

                                                          Catégorie voyage

 

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3 octobre 2016 1 03 /10 /octobre /2016 18:16
A l'orée du verger de Tracy Chevalier

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Résumé : 
En 1838, la famille Goodenough s'installe sur les terres marécageuses du Black Swamp, dans l'Ohio. Chaque hiver, la fièvre vient orner d'une nouvelle croix le bout de verger qui fait péniblement vivre ces cultivateurs de pommes.
Tandis que James, le père, tente d'obtenir de ces terres hostiles des fruits à la saveur parfaite, la mère, Sadie, en attend plutôt de l'eau-de-vie et parle à ses enfants disparus quand elle ne tape pas sur ceux qui restent.
Quinze ans et un drame plus tard, leur fils Robert part tenter sa chance dans l'Ouest. Il sera garçon de ferme, mineur, orpailleur, puis renouera avec la passion des arbres en prélevant des pousses de séquoias géants pour un exportateur anglais fantasque qui les expédie dans le Vieux Monde.
De son côté, sa soeur Martha n'a eu qu'un rêve : traverser l'Amérique à la recherche de son frère. Elle a un lourd secret à lui faire partager...

Tracy Chevalier nous plonge dans l'histoire des pionniers et dans celle, méconnue, des arbres, de la culture des pommiers au commerce des pins millénaires de Californie.
Mêlant personnages historiques et fictionnels, des coupe-gorge de New York au port grouillant de San Francisco, À l'orée du verger peint une fresque sombre mais profondément humaniste, et rend hommage à ces femmes et ces hommes qui ont construit les États-Unis.

 

Mon avis : 

Grosse déception alors que j'avais eu un coup de cœur pour le dernier roman de Tracy Chevalier  La dernière fugitive.

 

Je pensais trouver des personnages touchants, sympathiques et j'y ai découvert une famille vivant sur une terre marécageuse avec la mère ivrogne, vulgaire, batailleuse, se disputant en permanence avec James son mari, peu aimante envers ses enfants. 

Sadie et James sont en désaccord permanent sur la culture de leurs pommiers, Sadie veut des pommes pour faire de l'eau de vie et James veut des pommes à consommer.

Je n'ai pas aimé la structure du roman. Tout d'abord une partie sur la vie de cette famille. Puis un des fils part, et on lit une dizaine de lettres qu'il écrit à chaque 1er janvier avant de s'arrêter sur sa vie et l'histoire des séquoias les arbres géants. Puis on revient sur la vie de sa famille, la cause de son départ et un drame.

Je dois avouer que j'ai lu la deuxième moitié du livre en diagonale pour savoir quand même ce que devenait les personnages.

J'ai aimé l'histoire des pommiers et beaucoup moins celle des séquoias. 

Je suis déçue d'avoir été déçue...

 

 

 Livre emprunté à la

         images.jpg

 


    Catégorie lettre isolée


    Catégorie lettre isolée
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