30 mai 2012
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Quatrième de couverture :
Formidable catalogue des mœurs, croyances et turpitudes du monde rural, Les trois saisons de la rage, qui
se situe en Normandie, est autant le roman d'un médecin de campagne du XIXème siècle que l'évocation universelle de ce qui suscite les comportements humains. Tissant une foisonnante
intrigue de destins, de situations et de révélations où la naïveté, le cynisme, l'égoïsme, l'avidité et le désir mènent la ronde, il confirme le talent de Victor Cohen Hadria, l'auteur des
Chroniques des quatre horizons, dont la vision du monde, lucide, et même impitoyable, reste pleine d'humanité.
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Mon avis :
Ce livre comporte deux parties, la rage de vivre, la rage d'aimer et .... je m'attendais à avoir une
troisième saison de la rage comme le dit le titre, une subtilité a du m'échapper.
J'ai bien aimé la première partie qui est composée de lettres d'un paysan à sa famille et
leurs réponses ainsi que la correspondance des deux médecins qui servent d'intermédiaire, tout ceci se passe pendant la campagne d'Italie en 1859. Cette partie qui est 'la rage de vivre' est très
intéressante, bien rythmée et j'étais donc très optimiste pour la suite.
La deuxième partie, 'la rage d'aimer', relate le journal de l'un des deux
médecins, celui qui est médecin de campagne en Normandie. J'ai aimé découvrir ses journées, ses visites dans les familles des alentours, son travail de recherches scientifiques. Il est veuf et au
gré de ses visites, il fait aussi des rencontres galantes car il est clair qu'il est en manque de ce côté-là.
Après avoir lu une centaine de pages de cette deuxième partie, j'ai trouvé que ça tournait en rond et
que c'était toujours pareil : les visites et entre deux, hop, une petite visite galante, et on recommence. Je me suis lassée et pourtant c'est bien écrit. J'ai quand même lu la fin vite fait pour
connaître la chute de ce qui était annoncé dans le prologue, mais je n'étais vraiment plus dans l'histoire et j'avais hâte de passer à autre chose.
Je vais avoir bien du mal à voter ce mois-ci pour le prix des lecteurs du Livre de Poche,
il va pourtant bien falloir que je fasse un choix et malgré tout je pense que ce sera celui-ci mais sans enthousiasme.
Livre du prix des lecteurs
du Livre de Poche
Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
13 mai 2012
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Quatrième de couverture :
Suite au terrible secret révélé au clan des Neshov, la fratrie se disloque
dans de pesants non-dits. Jusqu'au jour, funeste, où ils doivent faire face, ensemble. Dans une chaleur suffocante, Torunn, héritière malgré elle de la ferme familiale et des guerres
silencieuses du passé, dénouera leurs destins, traçant une vie nouvelle.
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Mon avis :
Grosse déception avec ce troisième volume de la série d'Anne B. Ragde, j'ai trouvé que ça traînait en longueur et que
l'histoire n'apportait rien de plus.
J'en ai fait une lecture un peu rapide parfois pour aller au sujet qui m'intéressait : la ferme et son devenir.
Les personnages qui m'avaient attendrie dans les deux premiers livres m'ont un peu énervée.
Peut-être que deux livres m'auraient suffi, d'autant plus que j'ai été plutôt déçue par la fin, ce volume est plus pessimiste que les autres.
Je garderai quand même une bonne impression générale de cette trilogie grâce aux deux premiers que j'ai
beaucoup aimés.
Livre du club de lecture
avec mes copines
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
J'ai aimé un peu
6 mai 2012
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Quatrième de couverture :
Instinct de survie ou instinct de mort ?...
Quels liens unissent un flic dans le coma, une femme sadique
et un lycéen presque sans histoire ?..
Sinon 3 instincts indomptables, qui vont les amener à se retrouver aux limites de la conscience.
Dans ce thriller où chaque personnage est sous tension, bienvenue dans l'ultra-violence, aussi angoissante que surprenante. Digne d'un orange mécanique...
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Mon avis :
Après avoir lu Chambre A2 du même auteur je suis tombée presque par
hasard sur ce titre à la bibliothèque. Je l'ai emprunté et en rentrant chez moi j'ai vu qu'au dos de ce livre était mentionné pour public averti. Je ne savais donc pas trop à quoi
m'attendre.
Ce livre comporte 3 parties, instinct indomptable, instinct enfoui et instinct nouveau. Ces parties ont l'air
de raconter des histoires indépendantes les unes des autres mais l'acte final nous permet de faire le lien entre elles.
Les deux premières parties sont assez violentes, de façon différente pour chacune d'elles, cela me gêne
beaucoup plus en B.D que dans un roman, j'ai pourtant lu des choses de ce genre mais le lire et le voir ce n'est vraiment pas pareil. La troisième partie est plus obscure pour moi car il n'y a
pas de dialogue et je ne voyais pas trop de quoi il était question.
L'acte final qui devait me permettre de faire le lien entre les trois premières parties m'a laissée perplexe.
Tout d'abord je n'étais pas sûre d'avoir tout compris. En relisant certains passages, cela m'a aidée mais j'ai trouvé que c'était assez compliqué.
A ne vraiment pas mettre en toutes les mains, je confirme l'avertissement de la couverture.
L'idée de départ est vraiment bonne mais j'étais déçue que la fin soit si obscure pour moi (je ne suis
peut-être pas très futée...).
Livre emprunté à la
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
J'ai aimé un peu
21 février 2012
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Quatrième de couverture :
Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de
père en fils. Alors que la Grande Guerre fait rage, le jeune André se découvre un don pour faire « chanter la chair » - et pas n'importe laquelle : celle des femmes, dont la file s'allonge
devant la boucherie... Leurs hommes partis au front, celles-ci comptent sur lui pour goûter au plaisir suprême. Hélas, le conflit s’achève et les maris reviennent. Un matin, le boucher
trouve sur le pas de sa porte un bébé gazouillant dans un panier en osier, puis un deuxième, un troisième : du jour au lendemain, le voilà père de sept enfants, et poursuivi par un époux
vindicatif… Il y a du Gargantua et
du Robinson Crusoë dans ce Bifteck exquis, à consommer sans modération !
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Mon avis :
C'est mon deuxième avis pour ce livre puisque je l'avais déjà donné dans ce
billet.
J'ai beaucoup aimé les 40 premières pages, encore plus que la première fois d'ailleurs, c'est vraiment amusant.
André, fils de boucher, reçoit tous les principes d'éducation par ses parents et ils sont tous en lien avec la boucherie, la viande, la chair fraîche. Son premier mot d'enfant : Bifteck
!!!!!
En revanche, durant la deuxième partie André par en voyage sur un bateau et arrive sur une île. Je n'avais pas
aimé cette partie à la première lecture et je l'ai encore moins aimée cette fois-ci.
C'est amusant de voir que mon avis est identique les deux fois mais que les impressions sont accentuées
durant cette deuxième lecture.
Dommage que tout le livre ne soit pas à l'image des quarante premières pages qui sont vraiment
excellentes.
Livre du prix des lecteurs
du Livre de poche
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
J'ai aimé un peu
7 février 2012
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Quatrième de couverture :
- On vous envoie sur le front russe ! C'est vache pour un nouveau. Je n'avais pas envie de discuter de
cela avec lui.
- Pouvez-vous simplement me dire où cela se trouve ? insistai-je.
- C'est dans les nouveaux quartiers, juste derrière la gare d'Austerlitz.
J.-C. L.
Qui veut voyager loin passe un concours du ministère des Affaires Etrangères. Mais le quai d'Orsay
n'est pas toujours un quai d'embarquement et le narrateur se retrouve dans un obscur service, le "bureau des pays en voie de création-Section Europe de l'Est et Sibérie"...
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Mon avis :
Je n'ai pas beaucoup aimé ce livre mais il n'y a pas que du négatif, loin de là.
Il est facile à lire et le ton employé est plutôt agréable. Ce jeune fonctionnaire est désabusé face aux lourdeurs des procédures de l'administration. Il veut y arriver et fait son possible pour
bien faire, mais certains déboires vont contrecarrer ses objectifs.
Les passages sur sa jeunesse et ses parents sont assez caricaturaux mais l'auteur a un don pour raconter, c'est
indéniable. Il n'a pas beaucoup de chance non plus dans sa vie amoureuse et le moment que j'ai trouvé le plus drôle se situe dans cette partie.
Quelques passages m'ont fait sourire mais au final je n'ai pas bien vu l'intérêt de cette histoire.
Lu pour le prix des lecteurs
du Livre de Poche
Catégorie partie du corps
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
J'ai aimé un peu
30 janvier 2012
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Quatrième de couverture :
Alors que tous dans la maison de retraite
s'apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer.
Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant
au coeur de l'histoire du XXe siècle.
Car méfiez-vous des apparences !
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Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un
artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d'un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, et avec quelques coups de pouce du destin, Allan Karlsson, individu
lambda, apolitique et inculte, s'est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d'événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao...
Mon avis :
Allan se sauve de la maison de retraite le jour de ses cent ans, s'en suit une alternance de chapitres sur sa cavale ainsi
que sur sa vie remplie d'aventures.
Dès le début j'ai trouvé ce livre plutôt amusant, Allan est un sacré loustic. Les passages sur ses aventures de
jeunesses ont été pour moi d'intérêt inégal, j'avais plutôt envie de savoir jusqu'où le mènerait cette fuite, ce qui m'a amenée à lire en diagonale les passages du passé.
En résumé, j'ai trouvé que c'était une bonne idée mais c'est vraiment long et je me suis lassée si bien qu'à la
fin je lisais tout en accéléré juste pour savoir s'il allait revenir ou non à la maison de retraite ...
Livre prêté par une
copine de chorale : Merci !
Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
14 décembre 2011
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Quatrième de couverture :
Une apparente tranquillité champêtre, des fêtes saisonnières pleines de gaieté, des gens merveilleux – en
somme, un village idyllique de la Nouvelle-Angleterre.
Et pourtant... Et pourtant la peur rôde. Et, parfois, elle se métamorphose en épouvante. Des faits bizarres surgissent, des actes horribles sont perpétrés et le village devient alors la
proie des ombres.
Et si, en plein XX° siècle, la secte étrange des anciens adorateurs de Demeter existait toujours ?
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Mon avis :
Grosse déception pour cette lecture !
Un couple et sa jeune fille viennent s'installer dans un village isolé situé dans une sorte d'enclave. Les gens y
vivent comme dans une communauté, les années sont rythmées par les saisons et la culture du maïs. Ce village vit un peu hors du temps.
J'ai bien aimé le début du livre, la découverte de ce village et de la nouvelle vie de cette famille. Cela m'a plu
jusqu'à la moitié du roman environ mais ensuite j'ai trouvé que c'était long ..... long .... avant qu'il se passe quelque chose d'un peu spécial aux trois-quarts du livre, c'est dommage
mais cela est arrivé bien trop tard pour moi et j'avais décroché depuis un moment.
Mr l'a lu aussi : Idée intéressante mais rythme calqué sur la croissance du maïs, lent, très lent !
Un coup de cœur pour Canel.
Livre issu de ma
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Catégorie sport/loisir
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Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
10 novembre 2011
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Quatrième de couverture :
Nul doute que la fratrie "maudite" du village normand rejoindra la galaxie des personnages mémorables de
Fred Vargas. Quant à Momo-mèche-courte, il est le fil conducteur de la double enquête que mène ici le commissaire Adamsberg, confronté à l'immémorial Seigneur Hellequin, chef de L'Armée
furieuse.
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Mon avis :
Cinq affaires se mêlent dans ce dernier roman de Fred Vargas, elles n'ont pas forcément de lien entre elles et
sont de plus ou moins grande importance dans ce livre.
Comme d'habitude tout ceci est bien tarabiscoté et tiré par les cheveux mais ... je crois que je commence à me lasser car c'est un peu à chaque fois dans le même style tout en étant bien
différent. Bon, ce n'est pas très clair mais je n'ai été que moyennement passionnée par ce roman.
J'avais envie d'en connaître l'issue sans avoir très envie de m'y replonger et je me suis un peu forcée. C'est
toujours bien écrit mais vraiment j'avais envie d'autre chose et que ça change un peu de style.
Pas sûr que je lise le prochain ....
Les avis de Stephie, Brize, A propos de livres, Canel.
Livre du club de lecture
avec mes copines
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Catégorie métier
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Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
J'ai aimé un peu
31 octobre 2011
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Quatrième de couverture :
Un bassin, des massifs de roses et un plaqueminier donnent de quoi faire au jardinier d'une vieille
dame qui, depuis la mort de son mari, se sent très seule et en danger dans sa grande maison au coeur de la ville. Les fleurs donnent des fruits, les kakis mûrissent et elle ne se prive pas
d'en offrir, notamment à son locataire. Des liens subtils se tissent entre eux, que vient troubler l'apparition d'une fiancée...
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Mon avis :
J'ai emprunté ce livre les yeux fermés à la bibliothèque et en l'ouvrant j'ai découvert qu'il s'agissait de
nouvelles. Je suis souvent moins enthousiaste pour les nouvelles que pour les romans et cela s'est vérifié une fois de plus.
Ces nouvelles se passent en Iran et j'ai trouvé que c'était bien trop court pour bien s'imprégner d'une autre
culture, de ces histoires de couples, de fiançailles, de mariage, dans un monde que je n'ai fait que
survoler et j'ai eu bien du mal à apprécier ma lecture.
L'avis plus détaillé et enthousiaste de Leiloona.
Livre emprunté à la
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Catégorie végétal
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Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
25 octobre 2011
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Quatrième de couverture :
Berlin, mai 1929. La ville est en pleine ébullition et la police a du mal à être sur tous les fronts à la
fois - combats de rue entre forces de l'ordre et communistes, criminalité grandissante et night-clubs clandestins. Et puis il y a ce cadavre repêché au fond du canal et dont personne ne
semble connaître l'identité. Sauf Gereon Rath, qui l'a croisé quelques jours avant sa mort. Ce jeune commissaire originaire de Cologne qui travaille pour la brigade des mœurs brûle de
résoudre seul cette affaire dans l'espoir d'être intégré à la Criminelle.
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Car cette enquête risque de rejoindre les dossiers des affaires classées non élucidées appelées "les
poissons mouillés". Ce roman, le premier d'une série mettant en scène le commissaire Gereon Rath, dresse un fascinant portrait politique et social du Berlin des années vingt avec ses aspirations
contradictoires - rêve de régime autoritaire ou soif de dissipation.
Mon avis :
J'ai eu beaucoup de mal avec ce livre, pour une fois j'aurais du lire la quatrième de couverture car cela
m'aurait peut-être donné une idée de ce qui m'attendait.
Je n'aime pas trop les histoires où il est question de politique, de plus je ne connais pas bien cette
période et cela m'a déroutée.
J'ai trouvé toute cette histoire bien compliquée, cela s'imbrique dans tous les sens, plusieurs affaires
s'entrecroisent. Je n'ai donc pas tellement accroché à ce livre.
En revanche, c'est bien écrit et les passages qui me paraissaient plus limpides m'ont bien plu.
Mon mari qui est plus sensible à ce genre de sujet avait bien
aimé.
Livre issu de ma
 offert par Liliba
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Catégorie animal
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Publié par Sandrine(SD49)
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J'ai aimé un peu