2 novembre 2012
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23:05
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Quatrième de couverture :
C’est la belle histoire d’une femme libre et d’un enfant prêté, le temps d’une
équipée hivernale autour de l’Islande par la route côtière.
En ce ténébreux mois de novembre islandais, exceptionnellement doux au point
de noyer l’île sous les pluies et les crues, la narratrice, qui ne cesse de se tourner elle-même en dérision, voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie, Audur, lui demander
de s’occuper, pour au moins une saison, de son fils de cinq ans.
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Pourtant la chance sourit à l’amie d’Audur : elle gagne un chalet d’été et une
petite fortune au loto. À la suite de sa rupture, elle aurait préféré accomplir un voyage consolateur à l’étranger mais, bonne nature, elle est incapable de refuser quoi que ce soit à qui que ce
soit, hommes ou femmes. Elle partira tout de même, pour un tour de son île noire, avec Tumi, le fils d’Audur, étrange petit bonhomme, presque sourd, mutique, et avec de grosses loupes en guise de
lunettes.
Roman d’initiation s’il en fût, l’Embellie ne cesse de nous enchanter par cette
relation de plus en plus cocasse, attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager. Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre – on pourrait dire amoureuse – de
prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, sur fond de blessure originelle. Et l’on se glisse dans l’Embellie avec une sorte d’exultation complice qui ne nous
quitte plus, longtemps après en avoir achevé la lecture.
Mon avis
:
J'ai passé un bon moment de lecture pendant le
premier tiers de ce livre. La jeune femme dont il est question est assez originale, elle a l'air assez insensible à l'annonce du divorce que lui fait son mari. Elle raconte cela comme si elle
n'était pas très concernée. Cela donne parfois des scènes cocasses qui prêtent à sourire.
Elle va faire son footing dans un cimetière pour se sentir en vie !
Elle n'a pas d'enfant et ne sait pas bien comment faire pour s'en occuper quand son amie lui demande de garder son petit garçon.
"C'est bien moins compliqué que je ne pensais de faire les courses pour un enfant:
j'achète simplement ce dont il a envie, il opine du bonnet ou secoue la tête alternativement". p.125
"Je
n'y connais vraiment rien aux enfants mais j'essaie d'exécuter correctement la mission qu'on m'a confiée." p.129
J'ai beaucoup moins aimé l'histoire de son périple à travers l'Islande, j'ai trouvé
cela long et un peu ennuyeux. Les rencontres qu'elle fait ne m'ont pas passionnée. En revanche j'aime bien l'écriture de cet auteur, elle est très agréable mais j'ai du louper quelque chose car
j'avais lu des avis très positifs.
J'avais préféré Rosa Candida.
Les avis de A propos de livres, Liliba, Les jardins d'Hélène, Jostein,et Cathulu.
Livre offert par Canel pour mon anniversaire : Merci !
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Publié par Sandrine(SD49)
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J'ai aimé un peu
26 octobre 2012
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Résumé :
Un homme dépressif, car sa femme l'a quitté, tient un magasin de farces et attrapes 'Le petit rien tout
neuf avec un ventre jaune'. Une rencontre inattendue va changer sa vie.
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Mon avis :
Au contraire des petits ruisseaux, du même auteur, je n'ai
pas réussi à me laisser attendrir par cette histoire.
Certaines images m'ont fait sourire : les chaussons roses avec une tête d'animal, la housse de couette Bob
l'éponge et quelques autres gadgets.
Je ne me suis pas trop attachée au personnage principal bien trop sombre et négatif à mon goût, un peu de nerf quoi ! Il m'est devenu un peu plus sympathique en retrouvant le sourire et
l'envie de faire des gags.
Je pense que j'aurais du commencer par celui-ci avant de lire Les petits ruisseaux ou laisser plus de temps
entre ces deux lectures mais je les ai empruntés en même temps à la bibliothèque et lus à une semaine d'intervalle.
Livre emprunté à la
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Catégorie partie du corps
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Publié par Sandrine(SD49)
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J'ai aimé un peu
25 octobre 2012
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Quatrième de couverture :
Quittant l'Australie avec ses deux
enfants, Olivia se réfugie en France dans la demeure familiale où elle a grandi. Après des années d'absence, elle y retrouve sa mère et son frère, de retour avec sa femme. Dans cet univers
fragile, riche en émotions, chacun tente de tenir bon tandis qu'un tragique secret les rapproche sans cesse d'une possible rupture... Conte noir et fascinant, Ailleurs est à la fois
troublant, subtil et profond.
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Mon avis :
Drôle d'ambiance dans ce livre. Tout au long de l'histoire j'ai eu l'impression qu'un drame allait se produire, mais les
drames déjà vécus par les personnages se suffisent à eux-mêmes. L'atmosphère est lourde, noire et assez plombante.
La façon de raconter est bizarre également, Olivia est toujours appelée 'la femme' et ses enfants 'le garçon et
la petite fille'. Quelques phrases surprenantes sortent d'ailleurs de la bouche de cette petite fille : 'Ce lait à la même odeur que ton cul' dit-elle en parlant à sa mère... Cela surprend mais
on devine que cette famille a vécu des évènements difficiles et traumatisants.
Je n'ai pas tellement aimé cette histoire et pourtant la plume de l'auteur est plutôt agréable.
Livre prêté par Canel
Publié par Sandrine(SD49)
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J'ai aimé un peu
16 octobre 2012
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Quatrième de couverture :
William Monk, inspecteur de police chevronné, se réveille à l'hôpital.
Violemment agressé il y a quelques semaines, il a perdu la mémoire. Ce qu'il s'empresse bien de taire à ses supérieurs, qui auraient tôt fait de l'exclure manu militari de la police
londonienne. Revenu à la vie professionnelle, il mène parallèlement une enquête sur le meurtre d'un jeune aristocrate, survivant de la bataille de Crimée, et sur lui-même.
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Il découvre d'abord qu'il n'était ni très sympathique ni très
aimé, et qu'il avait laissé tomber sa famille, d'origine trop modeste, pour mieux réaliser ses ambitions. Il se rend compte aussi qu'il avait été mêlé de très près au meurtre sur lequel son
supérieur, qui veut sa peau, le laisse investiguer...
Mon avis :
Mon avis a vraiment évolué tout au long de ce livre.
1. J'ai aimé découvrir Monk, cet inspecteur qui a perdu la mémoire, pas facile d'enquêter quand on ne veut pas que cela se sache. Il n'aime pas trop ce qu'il découvre sur lui-même.
2. Dans le deuxième tiers du livre, j'ai bien eu envie d'abandonner, c'était un peu mou et pas très palpitant,
j'attendais des rebondissements qui ne venaient pas. Je me suis accrochée.
3. Après avoir piétiné pendant les deux tiers du livre, Monk avance enfin durant le dernier tiers que j'ai plus
apprécié.
4. C'est une série avec Monk comme personnage récurrent, je pense continuer car il parait que les suivants sont
meilleurs, à voir ...
Livre issu de ma
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 Catégorie
objet
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Publié par Sandrine(SD49)
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J'ai aimé un peu
3 octobre 2012
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Résumé :
Tout va mal dans la vie de Joseph Geist. Il est fauché, sa thèse de
philosophie patine depuis des lustres et sa petite amie vient de le mettre à la porte. Alors qu'il frôle le désespoir, une annonce dans un journal retient son attention : « Cherche
quelqu'un pour heures de conversation ». Un boulot de rêve pour Joseph ! Parler, c'est ce qu'il fait le mieux et Alma Spielmann s'avère l'employeuse idéale : vieille dame raffinée, érudite
et généreuse qui l'invite même à loger dans sa somptueuse demeure.
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Seule ombre au tableau, Eric, son neveu bien aimé, un jeune homme
paumé, énigmatique et manipulateur que Joseph prend en grippe instantanément. Pourtant, il est loin de se douter des conséquences néfastes que les manigances d'Eric auront sur le restant de ses
jours.
Mon avis :
De cet auteur j'avais beaucoup aimé Les visages et un peu moins Jusqu'à la folie. Quand les Editions des deux
terres m'ont proposé de recevoir son nouveau roman, je n'ai pas hésité en espérant retrouver le plaisir de lecture que j'avais eu avec Les visages.
Joseph, thésard attardé, répond à une annonce pour aller faire la conversation avec
une vieille dame.
J'ai vraiment bien aimé la rencontre et les discussions entre Joseph et Alma la
vieille dame, des liens de tendresse se tissent entre eux. Leur relation est emprunte de respect mais le fameux neveu vient un peu empiéter sur tout ça.
Je n'ai pas trop aimé l'orientation que l'auteur a prise dans cette histoire, sans
en dire trop j'ai trouvé que c'était trop ou pas assez. Je n'ai donc pas adhéré à ses choix. C'est dommage car son écriture est agréable à lire.
Livre offert par les Editions des deux terres : Merci !
Lecture commune avec Liliba, Vive les bêtises, Canel, Daniel.

Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
23 septembre 2012
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Quatrième de couverture :
Sa mère est partie en Asie depuis quatre
mois, soi-disant pour des « vacances personnelles ». Depuis, avec son père et son petit frère, Mona, 18 ans, tente de faire front dans un délire joyeux, pour contrer
l'angoisse et les questionnements sur les raisons véritables de cette disparition. Dans ce premier roman, Raphaëlle Riol, née en 1980, nous réjouit par son inventivité et son humour, la
justesse de la voix de cette adolescente si mature dans le regard qu'elle porte sur elle-même et le monde qui l'entoure. Un bel hommage à l'esprit seventies.
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Mon avis :
Mouais ! Heureusement que ce livre était court car je ne l'ai pas tellement apprécié. C'est Mona qui est la narratrice et
qui s'adresse à sa maman, celle-ci est partie de la maison depuis quelques mois. Mona vit donc avec son père et son petit frère de six ans.
Tout le monde fait semblant que tout va bien et cela m'a dérangée, le papa est loufoque mais sympa, le petit
frère croit dur comme fer que sa maman va revenir avec un éléphant et Mona vit sa vie de jeune fille de dix-huit ans.
Le titre des chapitres évoque le temps qui passe depuis la disparition de la maman et on attend avec eux
qu'elle revienne. Je n'ai pas été sensible à l'humour évoqué dans la quatrième de couverture et j'ai trouvé la fin un peu abrupte.
Le thème m'a "un peu" fait penser à Metal Mélodie de Maryvonne Ripert en moins
bien (à mon goût).
Les avis positifs de Brize et Lettres exprès.
Livre prêté par une amie
Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
15 août 2012
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Quatrième de couverture :
Miles Halter a seize ans et n'a pas l'impression d'avoir vécu. Assoiffé
d'expériences, il décide de quitter le petit cocon familial pour partir loin, en Alabama au pensionnat de Culver Creek. Ce sera le lieu de tous les possibles. Et de toutes les premières
fois. C'est là aussi, qu'il rencontre Alaska. La troublante, l'insaisissable et insoumise, drôle, intelligente et follement sexy, Alaska Young. Qui es-tu Alaska ? est LE roman de
l'adolescence : les amitiés fortes, l'amour, la transgression, la soif de connaissance et la fondamentale quête de sens. La vie explose dans ce livre qui fait rire et fondre en larmes
l'instant d'après et qu'on voudrait ne jamais finir.
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Mon avis :
Une histoire en deux parties, un "avant' et un "après", avec un évènement qui sera la charnière entre les
deux.
La première partie nous permet de faire connaissance avec les personnages et avec l'internat
dans lequel se passe cette histoire. Chaque chapitre nous signale le décompte des jours avant le fameux évènement dont nous ne connaissons pas la teneur.
Ces 200 premières pages m'ont paru assez longues, il y est beaucoup question d'alcool, de cigarettes et de sexe. Certaines scènes sont d'ailleurs assez crues et c'est, à mon avis, un livre pour
grands adolescents.
Ce décompte a trop traîné en longueur pour moi, cela manquait un peu de
rythme.
La deuxième partie est plus intéressante car on découvre de quelle façon chaque personnage va gérer l'évènement
qui s'est passé, leur ressenti, leur évolution par rapport à ça.
Au vu de l'enthousiasme des billets que j'avais lus je pensais que ce livre me plairait plus que cela. Voici
les avis de Leiloona, Midola, La Sardine, Brize et La bibliothèque du
dolmen.
L'avis de Mister G. (bientôt 16 ans ) : Une histoire avec un décompte, on ne sait pas à quoi s'attendre, j'ai trouvé la deuxième partie un peu plus longue. J'ai quand même beaucoup aimé ce
roman.
Livre emprunté à la
Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
24 juin 2012
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Quatrième de couverture :
Sébastien et Eléonore, frère et soeur, complices
inséparables, la quarantaine proche, se retrouvent à Paris. Egalement beaux et blonds, comme il se doit, les voici nonchalamment installés dans un meublé de hasard, parfaitement désargentés
et parfaitement disponibles. Presque aussitôt, se pressent autour d'eux Nora, une Américaine aussi riche que mûre, Bruno, jeune premier du cinéma français, Robert, un célèbre imprésario...
Françoise Sagan nous offre ici ses sentiments, elle nous parle de sa vie et se met en scène comme rarement. Elle utilise le «je» pour justifier ses choix et lui redonne, dans une pirouette
finale, son statut romanesque. Une œuvre admirable.
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Mon avis :
J'avais ajouté ce livre sur ma liste d'envies après avoir lu des avis positifs et parce que je gardais un bon souvenir de
Bonjour tristesse lu en 2010.
Ce livre est court : 179 pages. Il est original car l'auteur alterne les passages sur l'histoire des ses
personnages et les passages sur des réflexions sur son écriture, sa vie.
J'ai trouvé ce principe sympathique... au début. Puis, les passages où l'auteur intervient m'on paru longs et
bavards, pourtant le livre est court. Je n'ai pas trop apprécié cette introspection, c'est pourtant ce qui fait qu'on aime ce livre ou non.
Certains passages drôles et cyniques m'ont fait sourire, les personnages ont vraiment un côté caricatural mais
ils ne sont pas franchement antipathiques. Ils ont très peur de vieillir mais à quarante ans leur jeunesse s'éloigne.
"- Si tu t'habilles
dans un rideau, je peux laisser pousser mes cheveux ?
- Dépêche-toi, alors. Leur chute est proche."
p.21
Une déception pour moi mais allez lire les avis de George, Cynthia et Clara qui sont bien plus enthousiastes que le mien.
Livre issu de ma
Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
22 juin 2012
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Quatrième de couverture :
Petite paysanne illettrée tout juste débarquée dans la capitale, abandonnée
par un mari volage, Pajarita va mettre à profit sa connaissance des plantes médicinales et un savoir hérité de ses ancêtres indiens pour devenir une guérisseuse très appréciée. Le début
d'un destin hors du commun... Eva, sa fille, rêve de poésie pour mieux oublier un quotidien sordide. Violée par son patron, rejetée par Andres, son ami d'enfance dont elle est éperdument
amoureuse, elle décide de tenter l'aventure en Argentine. Une aventure qui la mènera dans les plus hautes sphères du pouvoir avant de précipiter sa chute... Salomé est la fille d'Eva. Le
jeune interne qui assiste à sa naissance s'appelle Ernesto Guevara. Signe du destin ? À l'âge des premiers émois, la jeune lycéenne rejoint le groupe clandestin des Tupamaros...
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Mon avis :
Mon avis sera bref, parce que je n'ai pas envie d'en écrire des tartines. Je n'ai pas beaucoup aimé ce livre, je l'ai
trouvé trop long, trop lent et pas gai.
En plus j'étais fatiguée et je ne l'ai sûrement pas lu au bon moment, mais je n'avais pas trop le choix de la
date puisqu'il faisait partie de la sélection de juin.
J'en ai quand même aimé certains passages mais d'autres beaucoup moins.
Un avis très influencé par ma forme du moment, dommage !
Livre du prix des lecteurs
du Livre de poche
Publié par Sandrine(SD49)
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dans
J'ai aimé un peu
31 mai 2012
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Quatrième de couverture :
Paris, 1900. Prisonnier de son succès, un écrivain
décide de tout quitter pour entrer au plus profond de ses cauchemars, explorer ce qu’il y a de pire en lui. Dans ce terreau de peurs se cachent les monstres enfouis en chacun de nous. Guy
de Timée voulait explorer la fange, il va rencontrer le Mal.
Des cercles ésotériques de la capitale aux
démesures de l’Exposition universelle, le début du XXe siècle inspire à Maxime Chattam un thriller halluciné où les progrès de la science nourrissent la folie des âmes
perdues.
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Mon avis :
Grosse déception ! De cet auteur j'avais beaucoup aimé La théorie Gaïa et Le sang du temps. Je m'attendais à une
histoire rythmée et palpitante.
L'enquête que mène Guy est longue à se mettre en place, et hormis quelques passages un peu plus mouvementés, j'ai trouvé que c'était trop lent pour moi.
D'autre part, nombreux sont les passages glauques, sanglants, morbides, un peu trop pour moi également.
Ce qui m'a le plus plu dans ce livre, c'est qu'il se passe à l'époque de l'exposition universelle de 1900 à
Paris, le début d'un siècle qui sera riche en évolutions.
Je pense que je vais faire une pause avant d'entamer La trilogie du mal qui se trouve dans ma PAL.
Livre emprunté à la
Publié par Sandrine(SD49)
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J'ai aimé un peu