17 décembre 2015 4 17 /12 /décembre /2015 18:00
Les accoucheuses Tome 3 La déroute d'Anne-Marie Sicotte

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Quatrième de couverture :
1853. Flavie débute une nouvelle vie. Elle a tout abandonné pour rejoindre une étonnante société utopiste dans l'État de New York. Ici, souffle un vent de liberté révolutionnaire. Mais certains dogmes restent profondément ancrés dans l'esprit des hommes...

Léonie ne le sait que trop bien, elle qui doit inlassablement poursuivre sa lutte contre les mentalités réactionnaires. Face à tant d'écueils, le savoir des sages-femmes pourrait bien se perdre, submergé par la bien-pensance de l'opinion publique...

De déroutes en succès, aujourd'hui encore, les combats de Léonie et Flavie se perpétuent, portés par des milliers de femmes.

 

Mon avis : 
J'avais beaucoup aimé le 
tome1 puis le  tome 2 de cette série "Les accoucheuses".

J'ai eu envie de retrouver les personnages, de savoir ce que la vie allait leur réserver.

J'aurais dû m'en tenir aux deux premiers tomes... Ce troisième reprend les mêmes ingrédients, un peu d'histoire de couple, un peu d'histoire d'accoucheuses, un peu de tout ce qui a déjà été raconté dans les deux premiers volumes.

Ce troisième tome comprend quand même plus de 940 pages !!! Alors quand on n'accroche pas c'est looonnng ...  

En bref, une grosse déception. Ce n'est que mon avis, mes copines du club lecture l'ont aimé !

 

Livre du club de lecture
     avec mes copines

      

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13 décembre 2015 7 13 /12 /décembre /2015 17:20
Entre mes mains le bonheur se faufile d'Agnès Martin-Lugand

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Quatrième de couverture :
Iris étouffe dans sa petite vie étriquée de la bourgeoisie de province. Un mariage qui se délite, un métier frustrant, elle s'échappe dans des drapés vaporeux et de sages petites robes sur mesure. La couture est son refuge, la machine suivant la cadence de son coeur apaisé. Jusqu'au jour de l'explosion, lorsque Iris découvre que ses parents lui ont volé ses aspirations de jeunesse.

Alors elle déchire le carcan et s'envole pour suivre la formation dont elle rêvait. Et, de fil en aiguille, sous l'égide autoritaire de l'élégante Marthe, Iris se confectionne une nouvelle vie, dans l'exubérance du Paris mondain.

 

Mon avis : 
Voici un petit roman bien sympa, vite lu et qui ne prend pas la tête.

Cela démarre sur un ton sympathique avec Iris que l'on voit évoluer au fil du livre et surtout un tournant de l'histoire qui m'a agréablement surprise. Ce moment à partir duquel le ton change et où l'histoire devient plus pimentée, moins lisse.

Un livre que j'ai terminé un soir au coin du feu après le travail ce qui ne m'arrive que très très rarement, c'est plutôt bon signe.

 

Livre du club de lecture
     avec mes copines

      

 

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12 décembre 2015 6 12 /12 /décembre /2015 12:33

                                                

Le 12/12 à 12h12, heureusement que j'avais programmé mon alarme ! 

Je remballais un adaptateur qu'avait acheté mon mari. Je voulais pouvoir écouter mon Ipod dans ma voiture qui n'a pas de port USB.
Celui qui est sur la photo n'accepte que les clés USB, je l'ai donc remballé pour aller en chercher un autre avec une prise jack, celui-ci me convient parfaitement. Je le teste vraiment lundi en allant au boulot.

Je vais pouvoir écouter et chanter en prévision de nos concerts de chorale fin janvier et courant mars mais aussi écouter mes livres audio.

Qu'est ce que je faisais le 12/12 à 12h12 ?

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8 décembre 2015 2 08 /12 /décembre /2015 14:19
La dernière leçon de Noëlle Chatelet

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Quatrième de couverture :
«Quelques jours à peine avant que tu nous quittes, nous avons été toutes deux prises d'un fou rire à propos d'un détail tellement prosaïque concernant ta mort. Ce doit être «le jour de la chemise de nuit». Rappelle-toi la chemise de nuit...

Ce jour-là, donc, comme chaque fois que nous avons ri ensemble de quelque chose qui aurait dû nous faire pleurer, je t'ai dit, redevenant sérieuse : «C'est inouï ce qui est en train de se passer, maman. Incroyable ce que tu me fais faire. Le chemin... Le chemin que tu me fais parcourir...
- Oui, c'est vrai, as-tu répondu, toute pensive.
- Il faut... Il faudrait le raconter ! Que d'autres que moi... Je crois que... je voudrais l'écrire...»
Tu as pris ton air de sage-femme. Celle qui sait le bon moment des choses en devenir.
«Tu penses que c'est important ? Que ce pourrait être utile ?»

 

Mon avis : 
Noëlle Chatelet est la fille de Mireille Jospin, une femme libre, une femme forte qui prend la décision de mettre fin à ses jours.

Ce récit raconte comment la mère prépare sa fille au deuil et même plus car elle lui fait faire le chemin du deuil avant sa mort, c'est cette dernière leçon de vie qu'elle lui transmet.

Cette femme de 92 ans tient une liste de ses dégradations car elle s'est fixée une limite à ne pas dépasser, elle ne veut pas devenir un poids pour sa famille. Elle prend cette décision en possession de tous ses moyens.

"Cette voix de mère aimante qui voulait laisser d'elle, à ceux qu'elle aimait et parce qu'elle les aimait, l'image de son intégrité" p.168

Ce sujet est difficile car il touche à nos peurs, cependant ce choix est fait comme un véritable cadeau à sa famille, et ce livre porte un beau message d'amour.

Je préfère la forme du roman à celle du récit comme c'est le cas ici mais j'ai aimé ce livre pour le message qu'il fait passer. 
J'ai maintenant encore plus envie d'aller voir le film qui s'en inspire.

PS : Le film ne passe plus ....
 

Sur le même sujet, j'avais préféré Tout s'est bien passé d'Emanuèle Bernheim.

 

Livre du club de lecture
     avec mes copines

      

 

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1 décembre 2015 2 01 /12 /décembre /2015 18:22
La meilleure d'entre nous de Sarah Vaughan

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Quatrième de couverture :
Angleterre, de nos jours. Le concours pour élire la nouvelle Kathleen Eaden a commencé ! Cinq candidats sont en lice, réunis par une passion commune. Mais la confection d'un cheesecake ou d'un paris-brest ne suffit pas toujours à faire oublier les blessures et les peines.


Jenny, la cinquantaine tout en rondeurs, délaissée par son mari ; Vicki, qui aspire à plus qu'à élever son petit Alfie ; Claire, la jeune caissière mère célibataire qui ne rêve même plus d'une autre vie ; Karen, dont l'apparente perfection dissimule bien des secrets ; sans oublier Mike, veuf en pleine thérapie culinaire... Au cours d'une compétition aussi gourmande qu'échevelée, tous apprendront que l'art de la vie est au moins aussi difficile que celui de la pâtisserie.

Généreux et inspirant, bourré d'émotion et d'humour, un premier roman à dévorer d'une seule traite, peuplé de personnages irrésistibles. Une déclaration d'amour à toutes les saveurs de la vie !

 

Mon avis : 
J'ai pris ce livre au hasard à la bibliothèque car il me semblait bien avoir lu des avis positifs sur certains blogs.

Un brochette de personnages variés pour un concours de cuisine et plus particulièrement de pâtisserie.

Je l'ai lu sans déplaisir mais également sans grand enthousiasme. Il faut dire que je ne suis pas fan du tout, du tout de ce genre de concours quand ils sont diffusés à la télévision.

J'ai trouvé que les personnages faisaient assez "cliché"  et aussi un petit côté Desperate Housewives parfois.

Je regrette que le personnage de Mike soit le moins développé dans ce roman.

Il est certain qu'ils ont tous (surtout les femmes) un grand besoin de reconnaissance.

Un avis mitigé car cette histoire et ses personnages ne m'ont pas vraiment touchée.

 

Livre emprunté à la

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22 novembre 2015 7 22 /11 /novembre /2015 10:27
Camille, mon envolée de Sophie Daull

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Quatrième de couverture : 
Dans les semaines qui ont suivi la mort de sa fille Camille, 16 ans, emportée une veille de Noël après quatre jours d'une fièvre sidérante, Sophie Daull a commencé à écrire.
Écrire pour ne pas oublier Camille, son regard «franc, droit, lumineux», les moments de complicité, les engueulades, les fous rires ; l'après, le vide, l'organisation des adieux, les ados qu'il faut consoler, les autres dont les gestes apaisent... Écrire pour rester debout, pour vivre quelques heures chaque jour en compagnie de l'enfant disparue, pour endiguer le raz de marée des pensées menaçantes.
Loin d'être l'épanchement d'une mère endeuillée ou un mausolée - puisque l'humour n'y perd pas ses droits -, ce texte est le roman d'une résistance à l'insupportable, où l'agencement des mots tient lieu de programme de survie : «la fabrication d'un belvédère d'où Camille et moi pouvons encore, radieuses, contempler le monde».

 

Mon avis : 
Lu d'une traite car je savais que c'était un beau texte mais un texte dur, sur un sujet sensible. 

L'auteur a perdu sa fille chérie, sa fille unique en quatre jours d'une terrible fièvre sans savoir ce qui terrassait ainsi Camille ni l'issue funeste de ce combat.

Un texte empli d'amour et de peine profonde qui  a serré le cœur de la maman que je suis.

L'auteur a écrit ce texte pour faire son travail de deuil mais plus exactement par "devoir de fidélité" p.64, c'est une jolie formule. Sophie Daull a voulu commencer à écrire juste une semaine après l'enterrement de sa fille pour transmettre tout ce qui était encore bien frais dans son esprit.

Les chapitres alternent la maladie, le décès, la préparation des obsèques et d'autre part la vie qui s'écoule durant l'écriture de ce livre. Au départ ce texte n'était pas écrit pour être publié.

Cela sonne juste et c'est terriblement poignant. 

Un livre pour lequel il faut bien choisir son moment ...

 

Livre prêté par une amie
      
 

 

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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 18:05
La variante chilienne de Pierre Raufast

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Quatrième de couverture : 
Il était une fois un homme qui rangeait ses souvenirs dans des bocaux. Des liens d'amitié se tissent au fur et à mesure que Florin extrait des bocaux ses petits cailloux.
À Margaux, l'adolescente éprise de poésie et à Pascal le philosophe perplexe, l'homme aux cailloux raconte.
L'histoire du village noyé de pluie pendant des années. Celle du potier qui voulait retrouver la voix de Clovis dans un vase. Celle de la piscine transformée en potager. Celle de l'hélicoptère qui cueillait des noix. Celle des fossoyeurs truands...

 

Mon avis : 
J'avais été un peu déçue par le premier titre de cet auteur : La fractale des raviolis 

Ici aussi l'auteur nous raconte différentes histoires mais la structure de ce roman est assez différente du précédent et c'est très bien.

Le titre de ce livre aurait pu être L'homme aux cailloux, car c'est lui qui va raconter la majorité des histoires.
Mais il y a aussi Pascal et Margaux, un adulte et une adolescente qui sont partis en vacances ensemble, le lecteur découvre petit à petit le pourquoi de cette situation.

J'ai préféré ce livre au premier car ce sont pas simplement des histoires qui s'enchaînent mais aussi l'histoire des personnages. Je les ai d'ailleurs trouvés vraiment sympathiques. Ils apprennent à se connaître et se soutiennent les uns les autres.

Un bon moment de lecture.

 

Lu dans le cadre des matchs de la rentrée littéraire avec Priceminister

 

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 16:08
Une voix dans la nuit d'Armistead Maupin

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Quatrième de couverture :
Auteur d’un feuilleton radiophonique écouté par des millions d’auditeurs, écrivain à succès, Gabriel Noone est une star. Ce qui ne l’empêche pas de pleurer à chaudes larmes quand Jess, son compagnon, le quitte brutalement.

Mais voilà qu’un événement inattendu vient le tirer de sa déprime : Pete, un garçon de treize ans porteur d’un lourd secret, fait irruption dans son existence, prenant la place du fils qu’il n’a jamais eu.

C’est le début d’une incroyable histoire, où la réalité et l’illusion ne vont cesser de jouer à cache-cache, entraînant Gabriel Noone de plus en plus loin, dans une aventure qui bouleversera sa vie à jamais.

Ambigu, sentimental, ironique, Gabriel Noone est la plus belle invention d’Armistead Maupin, qui nous donne ici un livre très personnel. Roman à suspense, Une voix dans la nuit est aussi un hommage à un genre porté à la perfection par Alfred Hitchcock dans Vertigo.

 

Mon avis : 

La quatrième de couverture parle de réalité et d'illusion, c'est tout à fait ça. Le doute s'infiltre peu à peu dans l'esprit du personnage principal ainsi que dans celui du lecteur. 

J'ai beaucoup aimé la relation qui se tisse entre Gabriel, l'écrivain, et Pete qui a treize ans, qui est fan des feuilletons radiophoniques de Gabriel.

J'ai aimé l'écriture et le rythme du début de ce roman. A mon goût il aurait pu être un tout petit peu moins long car ma lecture a perdu en intensité durant le troisième quart du livre.

Je ne sais pas pourquoi mais j'étais persuadée que c'était un roman policier, sans doute à cause du titre et de la couverture.

 

Livre issu de ma


 offert par Enna 

 

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 17:16
Les gens heureux lisent et boivent du café d'Agnès Martin-Lugand

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Quatrième de couverture :
«Ils étaient partis en chahutant dans l'escalier. [...] J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux.»

Diane a perdu brusquement son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l'exception de son coeur, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. C'est peut-être en foulant la terre d'Irlande, où elle s'exile, qu'elle apercevra la lumière au bout du tunnel.

L'histoire de Diane nous fait passer par toutes les émotions. Impossible de rester insensible au parcours tantôt dramatique, tantôt drôle de cette jeune femme à qui la vie a tout donné puis tout repris, et qui n'a d'autre choix que de faire avec.

 

Mon avis : 
La quatrième de couverture de ce roman est assez fidèle à ce que j'ai lu, sans trop en dire, quand c'est bien il faut le dire ! 

A peine la vingtième page atteinte, j'avais déjà les larmes aux yeux, heureusement tout le livre n'est pas triste même si le fond de l'histoire l'est.
Certains passages font même sourire.

J'ai aimé mais l'évolution d'une relation entre deux personnages de l'histoire m'a paru aller un peu vite, ce sera mon seul bémol.

Une lecture bien agréable, facile et parfaite en période de travail à un rythme soutenu.

 

Livre emprunté à la

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 17:58
La fractale des raviolis de Pierre Raufast

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Quatrième de couverture :
Il était une fois une épouse bien décidée à empoisonner son mari volage avec des raviolis. Mais, alors que s'approche l'instant fatal, un souvenir interrompt le cours de l'action.
Une nouvelle intrigue commence aussitôt et il en sera ainsi tout au long de ces récits gigognes. Tout ébaubi de voir tant de pays, on découvre les aventures extraordinaires d'un jeune garçon solitaire qui, parce qu'il voyait les infrarouges, fut recruté par le gouvernement ; les inventions stratégiques d'un gardien de moutons capable de gagner la guerre d'Irak ; les canailleries d'un détrousseur pendant l'épidémie de peste à Marseille en 1720 ou encore la méthode mise au point par un adolescent sociopathe pour exterminer le fléau des rats-taupes.
Véritable pochette surprise, ce premier roman ajoute à la géométrie rigoureusement scientifique, la collision jubilatoire du probable et de l'improbable.

Mon avis : 
Il y a quelques mois les billets fleurissaient sur les blogs à propos de ce livre. Je suis parfois un peu longue à la détente mais je l'ai enfin emprunté à la bibliothèque.

Le principe de ce roman est bien vu, les histoires s'enchaînent les unes à la suite des autres en repartant d'un détail de la précédente.

Mais ... cela va presqu'un peu trop vite car les histoires sont assez courtes et certaines ne m'ont pas enthousiasmée.

J'ai vraiment eu l'impression que cela se tricotait dans un sens pour, au bout d'un moment, se détricoter dans l'autre sens, c'est bien trouvé je l'avoue.

Même si mon impression d'ensemble est mitigée, la chute m'a plu.

Le deuxième roman de cet auteur m'attend mais je ne sais pas encore si je vais le lire aussi rapidement après celui-ci avant de le rendre à la bibliothèque (depuis que j'ai écrit ce billet, j'ai rendu le livre sans le lire puis je l'ai reçu par ailleurs....).

 

Livre emprunté à la

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