20 novembre 2016 7 20 /11 /novembre /2016 09:00

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Quatrième de couverture :
Quand j'étais enfant, mes voisins s'aimaient d'amour drôle.
- Germaine, pourquoi Jean et toi vous n'avez pas d'enfant ?
- Mon petit, en amour, pas d'intermédiaire !
- Jean, c'est vrai que Germaine et toi vous ne travaillez pas ?
- Mon garçon, en amour, le travail est une séparation.
Ça choquait les bourgeois alentour.

Moi, je les regardais s'aimer.
D.P.

Mon avis : 
Un amour exemplaire, un si bel amour ! Daniel Pennac nous raconte l'amour de Jean et Germaine. Un couple peu conventionnel, très amoureux et qui se suffit à lui-même.

L'histoire alterne les passages entre l'auteur qui raconte et la vie de Jean et Germaine.

Cette histoire est très attendrissante jusqu'à la toute dernière phrase du livre.

Mon seul bémol sera la plume de la dessinatrice, je n'y ai pas été sensible. J'ai trouvé le trait assez grossier, les visages ne sont pas gracieux et cela ne me convient pas trop.

Une histoire pleine de tendresse, d'humour et de livres, un bon moment de lecture.

L'avis de Canel

BD empruntée à la bibliothèque

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15 novembre 2016 2 15 /11 /novembre /2016 19:07

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Résumé : 
Été 1941, en Suède. Deux amies, Elna et Vivi, dix-sept ans, de condition modeste, s’offrent une escapade à bicyclette à travers la Suède en longeant la frontière de la Norvège occupée par les nazis. L’aventure, d’abord idyllique ? l’été de toutes les joies, de tous les espoirs ?, est de courte durée : Elna, violée, revient chez elle enceinte d’une petite fille qu’elle appellera Eivor.

1960. Eivor, dix-huit ans, en révolte contre sa mère, veut devenir une femme libre. Elle s’enfuit du village avec un jeune délinquant. Que lui réserve l’avenir ? Réalisera-t-elle son rêve d’indépendance et de liberté, et à quel prix ?


En s’attachant aux destins d’une mère et de sa fille entre 1941 et 1981 en Suède, Mankell brosse le portrait de ces générations de femmes (épouses, mères, ouvrières) qui ont dû lutter avec leurs propres désirs et renoncements pour exister et se faire une place au cœur d’une société où s’élaborait le modèle suédois.

Daisy Sisters, premier roman de Henning Mankell, renferme déjà les idéaux sociaux et politiques qui sous-tendent l’ensemble de son œuvre.

 

Mon avis : 
J'ai tenu durant les deux tiers de ce livre audio et je me trouve déjà bien courageuse.

Tout d'abord le titre est trompeur car l'histoire des Daisy sisters ne dure que très peu de temps.

Ensuite, je ne me suis pas tellement attachée aux personnages et la vie des femmes en Suède ne me passionne pas outre mesure. Rien d'extraordinaire dans la vie de ces femmes à partir des années 60, les problèmes de grossesses non désirées, le désir d'indépendance...

Et pour finir, la lectrice ne m'a pas encouragée à poursuivre cette écoute, elle lit bien mais il m'a manqué un je ne sais quoi pour rendre cette lecture plus vivante.

 

Livre prêté par une amie
Merci Mrs B.

 

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10 novembre 2016 4 10 /11 /novembre /2016 17:37

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Quatrième de couverture :
Genaro Reyes a treize ans, il est en 3ème. Il était l'intello ; il a rejoint les cancres, jusqu'à terminer ivre mort à l'hôpital. Ses parents décident qu'il mérite trois semaines de vacances en Espagne chez un cousin, Pepito Perrito. Pepito Petit Chien… il aurait dû se méfier !

Genaro n'est pas prêt à côtoyer le pire et le meilleur, à lutter contre la barbarie et l'injustice. Il ne connaît pas encore Pirata, Tuxedo, Tonka… Mais surtout, Genaro n'imagine pas que sa vie sera bouleversée à jamais par Pepito, ses amis et la fabuleuse Lucy.

 

Mon avis : 

 

 

Coup de cœur tout à fait inattendu pour ce roman pour ado (à partir de 13 ans).

Genaro a 13 ans et se laisse entraîner à vouloir être comme les autres, lui, l'intello de la classe. Suite à un coma éthylique ses parents l'envoient chez un cousin en Espagne.

Cette "punition" va lui permettre de se révéler, de retrouver confiance en lui, d'accepter sa vraie nature. Ses parents ont pris la bonne décision, leur fils est à la dérive mais il a un bon fond et ce séjour espagnol va lui remettre la tête sur les épaules.

J'ai tout aimé dans ce livre, l'humour de Pepito, la transformation de Genaro, sa relation avec la jolie Lucy et... les chiens (pour moi qui ne les aime pas trop).

Il est aussi question de couture, de cuisine, de blog (eh oui !).

Pas de temps mort, de l'humour, de l'émotion, et je suis presque sûre que ce livre va plaire à mes filles. 

Une très, très belle surprise !

 

Merci à Babelio et aux éditions Samir.

tous les livres sur Babelio.com
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5 novembre 2016 6 05 /11 /novembre /2016 17:30

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Quatrième de couverture :
Et si, vous aussi, vous découvriez un Modigliani chez vous ?
Impensable ? Délirant ?
Et pourtant, c'est l'histoire authentique que Laurence Venturi nous raconte, de l'enquête quasi policière pour faire authentifier le tableau aux bouleversements familiaux, conjugaux, psychologiques qu'entraîne pareille aventure où tous les secrets de famille volent en éclat.
Un vrai roman.

Mon avis : 
Laura suit une sorte de jeu de piste pour connaître l'origine d'un tableau découvert par hasard mais elle en fait une sorte de fixation, au détriment de sa famille, comme si une occupation lui manquait. Elle mène l'enquête en suivant divers indices et en étudiant les ancêtres de son mari.

Comment dire.... on sent très bien dans ce livre que l'auteur est bien documentée, cela a du représenter pas mal de travail. On y retrouve beaucoup de connaissances techniques, beaucoup de la vie des peintres et il est certain que l'auteur aime ce domaine.

La quatrième de couverture parle d'histoire authentique, une histoire arrivée dans sa famille (?) au vu de la consonance de son nom cela paraît plausible. 

Je ne sais pas trop pourquoi je ne l'ai que moyennement aimé, peut-être que je me suis perdue dans toutes ces recherches, dans toutes ces techniques, dans tous ces gens rencontrés. J'avais envie de connaître l'issue de cette histoire mais sans être plus motivée que ça.

Ce que j'ai préféré dans ce livre c'est sa couverture.

Ma copine de lecture commune a certainement un avis plus argumenté que le mien et c'est toujours aussi sympa d'échanger par mail pendant une lecture. On ne remarque pas toujours les mêmes choses.

En tous cas je suis sûre qu'il va plaire aux copines de mon club de lecture et je le leur propose dès mardi.

 

Merci aux Editions Albin Michel

                               Lecture commune avec Canel

 

                                                Catégorie objet

 

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2 novembre 2016 3 02 /11 /novembre /2016 12:13

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Quatrième de couverture : 
Anna Lou est une jeune fille exemplaire. Alors pourquoi aurait-elle fugué la veille de Noël ? Ou serait-ce un kidnapping ?
Mais qui lui voudrait du mal dans son paisible village des Alpes ? Le commandant Vogel, star de la police, est envoyé sur place.
Entouré de sa horde de caméras, il piétine. Aucune piste, aucun indice ne s'offre à lui. Devant ses fans, il ne peut pas perdre la face.
Vogel résistera-t-il à la pression de son public qui réclame un coupable ?

Mon avis : 
Un bon roman policier cela ne se boude pas et de mon point de vue celui-ci est une réussite.

Les chapitres alternent les évènements avant ou après la disparition d'une jeune fille dans un village tranquille.

Une belle histoire de manipulation mais qui manipule qui ? le flic ? le coupable présumé ?  la famille de la disparue ? 

Une chose est sûre l'auteur manipule parfaitement son lecteur et jusqu'à la toute fin de l'histoire je n'avais rien deviné.

Une belle réussite ! 

De cet auteur j'avais déjà beaucoup aimé Le Chuchoteur (mon avis ici) et pas trop aimé Le tribunal des âmes (mon avis ici).

Merci aux éditions Calmann-Lévy et à Netgalley

La fille dans le brouillard de Donato Carrisi
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31 octobre 2016 1 31 /10 /octobre /2016 16:40

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Résumé : 
Dans un appartement, un jeune homme gît dans un bain de sang sans qu’il y ait le moindre signe d’effraction ou de lutte. Pas d’arme du crime, rien que cette entaille en travers de la gorge de la victime. Et dans sa poche, des cachets de Rohypnol, connu sous le nom de drogue du viol… Runolfur a-t-il violé une femme qui s’est ensuite vengée ? Un châle trouvé sous le lit va mettre Elinborg, l’inspectrice qui remplace Erlendur, sur la piste d’une jeune femme. Mais celle-ci ne se souvient de rien…. Une fiole de narcotiques oriente les enquêteurs vers de secrètes violences …

Comme il l’avait fait dans Hypothermie, Jean-Marc Delhausse donne à ce nouveau roman d’Arnaldur Indridason la dimension d’angoisse et de violences cachées que masque la banalité du quotidien.

 

Mon avis : 
Mon avis n'est pas super enthousiaste sur ce livre audio.
J'ai suivi l'enquête avec intérêt mais aurais aimé un peu plus de suspense et de rythme.
Le lecteur est correct mais j'en ai déjà entendu de meilleurs.

Dans cette histoire c'est Elinborg qui mène l'enquête, elle arrive à ses fins et une grande part est laissée à la description de sa vie de famille.

Je suis peut-être un peu sévère je l'avoue mais c'est mon ressenti.

                                           Livre emprunté à la

 

                                            Catégorie couleur

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30 octobre 2016 7 30 /10 /octobre /2016 16:39

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Quatrième de couverture :
Aurore est une styliste reconnue et Ludovic un agriculteur reconverti dans le recouvrement de dettes. Ils n'ont rien en commun si ce n'est un curieux problème : des corbeaux ont élu domicile dans la cour de leur immeuble parisien.
Elle en a une peur bleue, alors que son inflammable voisin saurait, lui, comment s'en débarrasser. Pour cette jeune femme, qui tout à la fois l'intimide et le rebute, il va les tuer.
Ce premier pas les conduira sur un chemin périlleux qui, de la complicité à l'égarement amoureux, les éloignera peu à peu de leur raisonnable quotidien.
Dans ce grand roman de l'amour et du désordre, Serge Joncour porte loin son regard : en faisant entrer en collision le monde contemporain et l'univers intime, il met en scène nos aspirations contraires, la ville et la campagne, la solidarité et l'égoïsme, dans un contexte de dérèglement général de la société où, finalement, aimer semble être la dernière façon de résister.

Mon avis : 
Je n'avais pas lu cet auteur depuis "L'amour sans le faire" que j'avais bien aimé (même si je l'ai oublié...).
Après avoir lu  de nombreux billets enthousiastes sur ce nouveau titre j'avais bien envie de partir à sa découverte. Canel devait me le prêter et très gentiment elle me l'a offert et me l'a même fait dédicacer au salon du livre du Mans.

Aurore, femme d'affaire sophistiquée, Ludovic un grand baraqué qui vient de la campagne, leurs fenêtres donnent sur la même cour et un problème de corbeaux va les faire se rencontrer.

Aurore a l'impression que sa vie est en train de basculer, elle n'est plus sûre de rien, ni dans sa vie familiale ni dans sa vie professionnelle.

Comme des aimants, les contraires s'attirent et cela peut parfois mener beaucoup plus loin que prévu.

J'ai aimé retrouver la plume de l'auteur, la plus grande partie du livre consiste en une description très réaliste de la vie et de la psychologie des personnages.
Une petite accélération de rythme est la bienvenue et je me suis demandé où tout ceci aller mener Aurore et Ludovic.

Contrairement à Canel je n'ai pas été emballée par la fin, peut-être parce qu'elle m'a surprise, mais j'ai aimé tout le reste, c'est déjà énorme.

                                     Merci Canel pour ce cadeau ! 

 

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29 octobre 2016 6 29 /10 /octobre /2016 16:58

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Quatrième de couverture : 
À New York, Kate élève seule sa fille de quinze ans, Amelia. Très proches, elles n'ont pas de secrets l'une pour l'autre. Jusqu'à ce matin d'octobre, où elle reçoit un appel du lycée qui lui demande de venir de toute urgence.
Elle ne reverra plus jamais Amelia : celle-ci a sauté du toit de l'établissement.
Rongée par le chagrin, Kate plonge dans le désespoir et l'incompréhension. Pourquoi une adolescente en apparence si épanouie s'est-elle donné la mort ? Mais un jour, Kate reçoit un message anonyme qui remet tout en question : « Amelia n'a pas sauté. » Obsédée par cette révélation, elle s'immisce dans la vie privée de sa fille et découvre, à travers les réseaux sociaux, les mails et les SMS d'Amelia, une réalité terrible, un véritable monde parallèle qu'elle n'aurait jamais pu imaginer.

Mon avis : 
Amelia est une adolescente de quinze ans, bonne élève, sportive et jolie fille.

Ce roman alterne les allers et retours entre le présent et le passé, entre le présent de Kate, la mère d'Amelia, à partir de ce fameux 24 octobre et le passé d'Amelia avec sa vie avant ce 24 octobre.

J'avais lu la quatrième de couverture, oui je sais qu'il ne faut pas (Canel !) mais pour ce roman ce n'est pas trop gênant.

Il ne m'a fallu qu'à peine un tiers de ce livre pour que je n'arrive plus à le lâcher.

Certains de mes enfants sont encore de grands adolescents et cette histoire prend aux tripes.
J'ai bien aimé la relation d'Amelia et de sa mère, celle-ci est très prise par son travail mais réussit toujours à garder des moments privilégiés avec sa fille. 
Une seule chose les divise un peu, Kate est mère célibataire et Amelia voudrait savoir qui est son père.

Ce roman est très bien mené même si j'ai trouvé une des surprises un peu "too much".

 

                                           Livre prêté par Canel
                                                       Merci ! 

 

                                            Catégorie prénom

 

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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 17:03

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Quatrième de couverture :
Une belle journée de sortie scolaire qui vire au cauchemar.
Une enfant de cinq ans a disparu.
Que s'est-il passé dans la forêt ?
À cinq ans, on est innocent, dans tous les sens du terme.
Pourtant, ne dit-on pas qu'une figure d'ange peut cacher un cœur de démon ?

Mon avis : 
Dans ce roman une des angoisses des enseignants se produit : un enfant manque à l'appel au moment de reprendre le car à la fin de la sortie scolaire.

Tous les adultes sont inquiets et à juste titre car Emma a seulement cinq ans. Mais c'est une petite fille particulière avec un caractère assez spécial.

Voilà il ne faut pas en savoir plus que ça avant de commencer ce roman, je ne savais rien de l'histoire et c'était parfait.

De plus toutes les quatrièmes de couverture devraient être aussi mystérieuses que celle-ci ! 

J'aime ce qu'écrit cet auteur et cette fois encore elle mêle suspense, intrigue, surprises et psychologie. Difficile de lâcher ce livre une fois qu'il est commencé.

Un très bon roman qui se termine de façon très troublante ! 

 

Merci aux éditions Belfond et à Netgalley

Je sais pas de Barbara Abel
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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 18:14

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Quatrième de couverture :
Lorsque Myriam, mère de deux jeunes enfants, décide malgré les réticences de son mari de reprendre son activité au sein d'un cabinet d'avocats, le couple se met à la recherche d'une nounou. Après un casting sévère, ils engagent Louise, qui conquiert très vite l'affection des enfants et occupe progressivement une place centrale dans le foyer. Peu à peu le piège de la dépendance mutuelle va se refermer, jusqu'au drame.

À travers la description précise du jeune couple et celle du personnage fascinant et mystérieux de la nounou, c'est notre époque qui se révèle, avec sa conception de l'amour et de l'éducation, des rapports de domination et d'argent, des préjugés de classe ou de culture. Le style sec et tranchant de Leïla Slimani, où percent des éclats de poésie ténébreuse, instaure dès les premières pages un suspense envoûtant.

 

Mon avis : 
Le premier chapitre de ce livre est bouleversant, le lecteur découvre la mort de deux jeunes enfants et de leur meurtrière. La description est très précise et ... sanglante.

On découvre ensuite l'histoire de Myriam et Paul qui embauchent Louise, nounou à domicile. C'est une perle au début mais elle va prendre de plus en plus de place  par une sorte d'invasion de toute leur vie privée. 

Ce qui est terrible c'est que dès le recrutement de Louise, on connait l'issue fatale. Sa présence devient de plus en plus malsaine, que cache-t-elle ? 

Ce roman se lit presque d'une traite, l'auteur dépeint très précisément le portrait de Louise, ce qu'elle a vécu et ce qui l'amène à ce geste terrible.

Myriam et Paul pensent à se séparer de leur nounou "Mais Louise a les clés de chez eux, elle sait tout, elle s'est incrustée dans leur vie si profondément qu'elle semble maintenant impossible à déloger. Ils la repousseront et elle reviendra. Ils feront leurs adieux et elle cognera contre la porte, elle rentrera quand même, elle sera menaçante, comme un amant blessé" p.177

Il est clair que Myriam et Paul l'ont laissée aller trop loin.

Je suis contente que mes enfants soient grands car je n'aimerais pas avoir à recruter une nounou après cette lecture...

                                      Livre prêté par Canel, merci ! 
 

 

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