Quatrième de couverture :
Quatrième de couverture :
Quatrième de couverture :
Londres, 1940. Soucieux de pallier l’anéantissement de l’armée britannique à Dunkerque, Winston Churchill décide de créer une branche particulière des services secrets, le Special Operations Executive (SOE). Elle lui sera directement rattachée, et chargée de mener des actions de sabotage et de renseignement à l’intérieur des lignes ennemies. Tous ses membres seront issus des populations locales pour être insoupçonnables. Du jamais vu jusqu’alors.
L’existence même du SOE a été longtemps tenue secrète. Soixante-dix ans après les faits, Les Derniers Jours de nos pères est un des premiers romans à en évoquer la création et à revenir sur les véritables relations entre la Résistance et l’Angleterre de Churchill.
Mon avis :
J'ai déjà lu de nombreux romans sur la Résistance durant la deuxième guerre mondiale, c'est un sujet toujours très intéressant.
Ici, des personnes choisies sont formées pour aller en France sans être repérées pour saboter, communiquer, détruire, parachuter, aider.
L'auteur s'attache à un groupe particulier dans lequel nous faisons connaissance de Pal, Gros, Laura, Stanislas, André, Faron, Key, Claude... Leur formation va être éprouvante, il faut qu'ils soient prêts à affronter toutes sortes de situations.
Des liens forts se créent entre les différents protagonistes, c'est ce qui fait l'intérêt et la force de cette histoire.
Les relations humaines sont belles et fortes, emplies de fraternité, d'humour parfois, de tragédie.
En parallèle de la Résistance, on découvre la relation forte de Pal avec son père. Celui-ci ne sait pas où est parti son fils, il désespère d'avoir de ses nouvelles.
Comme dans toute histoire sur la guerre certains passages sont durs, éprouvants, poignants.
Les personnages sont attachants et l'auteur nous les rend proches et profondément humains. Les liens entre eux sont solides et ils iront même bien au delà de cette période de guerre.
Ce qui m'a marqué : beaucoup de ces jeunes gens ont l'âge actuel de certains de mes enfants, de très jeunes adultes ... ça fait froid dans le dos.
Livre du club de lecture
avec mes copines
Quatrième de couverture :
Justine, vingt et un ans, aime les personnes âgées comme d'autres les contes. Hélène, presque cinq fois son âge, a toujours rêvé d'apprendre à lire.
Ces deux femmes se parlent, s'écoutent, se révèlent l'une à l'autre jusqu'au jour où un mystérieux « corbeau » sème le trouble dans la maison de retraite qui abrite leurs confidences et dévoile un terrible secret.
Parce qu'on ne sait jamais rien de ceux que l'on connaît.
À la fois drôle et mélancolique, Les Oubliés du dimanche est un roman d'amours passées, présentes, inavouées... éblouissantes.
Mon avis :
Hélène a largement dépassé les 90 ans et Justine toute jeune aide-soignante établit un lien privilégié avec elle.
On découvre alternativement la famille d'Hélène et celle de Justine dont les parents sont décédés, la vie de l'une et celle de l'autre.
Quelques mystères, de l'amour, de beaux personnages et une écriture simple et limpide.
Une bien belle découverte et une lecture très facile et agréable.
Je l'ai sûrement déjà dit mais les personnes âgées me touchent particulièrement, sûrement parce que tous mes grands-parents ont vécu longtemps, très longtemps.
Les hasards de la vie font que je travaille maintenant dans une maison de retraite, je ne suis pas en contact permanent avec les résidents mais j'aime quand cela se produit.
Justine est une personne bienveillante envers les personnes dont elle s'occupe, c'est une des facettes du métier de soignant qui est vraiment très importante. C'est un métier difficile et j'admire ceux et celles qui l'exercent au quotidien.
L'avis de Canel
Livre emprunté à la
Quatrème de couverture :
Un soir à Paris, une jeune femme se fait voler son sac à main. Laurent le découvre le lendemain, abandonné dans la rue, tout près de sa librairie. S'il ne contient plus de papiers d'identité, il recèle encore une foule d'objets qui livrent autant d'indices sur leur propriétaire : photos, notes, flacon de parfum...
Désireux de la retrouver, l'homme s'improvise détective. À mesure qu'il déchiffre le carnet rouge contenant les pensées secrètes de Laure, le jeu de piste se mue en une quête amoureuse qui va bouleverser leurs vies.
Orchestrant avec humour coïncidences et retournements de situation, Antoine Laurain signe une délicieuse comédie romantique qui rend hommage au besoin de merveilleux sommeillant en chacun de nous.
Mon avis :
Ce livre n'est pas désagréable mais un peu soporifique pour une semaine d'avant vacances. J'ai souvent piqué du nez et un peu plus de rythme n'aurait pas nui à mon intérêt.
J'ai aimé retrouver l'écriture de l'auteur donc j'avais apprécié Le chapeau de Mitterrand, mon avis ici.
Les personnages sont intéressants et je les ai trouvés sympathiques. Certains passages sont même assez touchants.
En fait c'est la recherche de cette fameuse femme au carnet rouge qui est un peu longue à mon goût.
Je relirai cet auteur car j'aime bien son style. Il faut que je regarde à la bibliothèque s'il y a d'autres titres.
Livre emprunté à la
Quatrième de couverture :
Adolescent atteint du syndrome d'Asperger, Jacob Hunt ne possède pas le mode d'emploi pour communiquer avec les autres. Enfermé dans sa bulle, il est pourtant d'une intelligence prodigieuse. Un sujet le passionne plus que tout : la criminalistique. Il parvient souvent à se rendre sur des scènes de crime, où il ne peut s'empêcher d'expliquer aux policiers comment faire leur travail. En général, il tombe juste.
Mais lorsqu'un assassinat se produit dans le quartier, l'attitude de Jacob est un signe flagrant de culpabilité pour la police. Pour la mère et le frère de Jacob, l'intolérance et l'incompréhension qui ont toujours menacé leur famille ressurgissent brutalement.
Et cette question lancinante, qui ne laisse pas leur âme en paix... Jacob a-t-il, oui ou non, commis ce meurtre ?
Mon avis :
600 pages plus quelques unes ! au moins 200 de trop à mon goût.
Et pourtant j'ai beaucoup aimé découvrir les particularités et la vie de Jacob atteint du syndrome d'Asperger.
Il est très intelligent par certains côtés mais il a un réel problème de communication et de comportement. Cela donne parfois lieu à des situations cocasses.
Emma la maman de Jacob a tout fait pour que son fils soit le plus intégré possible malgré ses difficultés.
Une histoire d'assassinat vient se mêler à tout ça, toute cette partie est longue et j'aurais aimé qu'il y ait un peu plus de rythme.
Je suis allée jusqu'au bout car j'ai aimé les différents personnages. Chaque chapitre est centré sur l'un d'entre eux ce qui m'a permis de ne pas trop me lasser quand même.
L'étude du personnage de Jacob m'a paru bien approfondie et c'est vraiment intéressant de découvrir ce que peuvent vivre les personnes qui sont atteintes de ce syndrome mais aussi leurs familles.
Un avis mitigé, je pensais qu'il serait bien meilleur car j'ai vraiment beaucoup aimé tout le début de l'histoire et la découverte des différents protagonistes.
L'avis de La Sardine
Livre emprunté à la
Quatrième de couverture :
« Ce livre est le récit de ma rencontre avec L.
Quatrième de couverture :
«L'homme que vous pensez être votre père est peut-être mort... Mais votre père est bien vivant.» Troublée par les paroles d'une chiromancienne, Nicole J. Georges replonge dans son enfance, affrontant les zones d'ombre d'une destinée familiale chaotique. Chronique sensible d'une jeunesse dans le Portland bohême des années 2000, Allô, dr Laura ? dévoile au fil de ses pages une courageuse et bouleversante quête de vérité.
Mon avis :
260 pages !!!!!!!!!! Quel pavé..... surtout que je n'ai pas accroché du tout ni au dessin ni à l'histoire.
Ce récit est assez décousu et j'étais parfois un peu perdue entre la période de sa jeunesse et la période adulte.
La quatrième de couverture évoque le fait que le père de Nickie (= Nicole, l'auteur) n'est pas son père, ce sujet n'est que peu évoqué au fil des pages. Il est bien plus question de son homosexualité, de la relation avec sa mère...
D'autre part, Nickie ne parle au Dr Laura du titre qu'à la page 196... Que c'est long.
Je dois avouer que j'ai abandonné aux deux tiers de ma lecture, aucun intérêt = aucun plaisir de lecture ce qui est un ingrédient essentiel pour moi.
Quatrième de couverture :
Une famille belle et distinguée. L'été. Une île privée. Le grand amour. Une ado brisée. Quatre adolescents à l'amitié indéfectible, les Menteurs.
Un accident. Un secret. La vérité.
Un drame familial époustouflant où culmine le suspense. Une lecture qui, à peine terminée, donne envie de retourner à la première page pour recommencer...
nous les menteurs
Bienvenue dans la famille Sinclair. Tous sont beaux, riches, sportifs, intelligents, aucun n'a le droit à l'échec. Ils passent leurs étés à Beechwood, leur île privée au large du cap Cod. Cadence est l'aînée des petits-enfants. Voici son histoire, et celle des Menteurs. Une histoire bouleversante, dont on ne sort pas indemne.
Mon avis :
J'aime être surprise et je savais que j'allais l'être d'après ce que j'avais lu ici ou là mais je n'ai rien vu venir.
De riches cousins et cousines se retrouvent tous les étés sur une île, les étés défilent et sont nommés d'après l'âge des jeunes : été 8, été 12, été 15...
Le fameux été 15 où un accident va arriver, la vie de Cadence s'en trouve bouleversée.
Elle sent qu'on lui cache des choses, elle a oublié ce qui s'est passé, et quand elle revient sur l'île lors de l'été 17 elle espère bien avoir des réponses à ses questions et pourquoi pas se rappeler de l'accident dont elle a été victime.
Je guettais la mise en rayon de ce livre à la bibliothèque et je suis la première à l'avoir emprunté !
Cela faisait un petit moment que je n'avais pas lu de livre "ado", bien m'en a pris car celui-ci est vraiment bien construit.
Mon ado fille (17 ans 3/4) l'a lu aussi et l'a également trouvé surprenant, son avis est positif, elle l'a dévoré en voiture lors du week-end de Pâques.
L'avis de Canel
Livre emprunté à la
Quatrième de couverture :
Après dix ans d'absence, ayant appris la découverte d'un corps qui pourrait être celui de sa meilleure amie, Fortuna retourne à Roccachiara, le village de son enfance qu'elle pensait avoir définitivement abandonné. Elle retrouve la pluie froide de ses souvenirs, le brouillard persistant, le lac sombre encaissé entre les montagnes, la maison de sa grand-mère, inchangée, et sa mère, la sauvage Onda dont elle n'a jamais été aimée. Le moment est venu de solder les comptes avec le passé.
Ainsi débute ce récit déployé sur quatre générations : quatre générations de femmes qui ont vécu en marge de leur communauté, année après année, privées d'hommes, isolées, marquées au fer rouge par d'étranges dons. Cette remontée aux origines permettra-t-elle à Fortuna de s'engager sur le chemin de la vérité et de la reconstruction ?
Acquanera évoque avec force et sensibilité les relations familiales, la transmission, la différence et l'amitié. Valentina D'Urbano confirme son talent en signant ce deuxième roman captivant et poétique.
Mon avis :
Elsa, la grand-mère, Onda, la mère et Fortuna la fille et petite-fille, sont d'une lignée de femmes qui ont des dons. Les gens du village italien dans lequel elles vivent les traitent de sorcières. Elles dérangent.
Il n'est pas facile pour Fortuna de grandir dans ce cadre, d'autant plus que sa mère la rejette et que celle-ci est vraiment très particulière.
Fortuna se lie alors avec Luce, la fille du fossoyeur, elles sont très, très proches l'une de l'autre. Une amitié hors du commun qui va permettre à Fortuna de grandir un peu moins seule.
Peu à peu le lecteur découvre la vie des unes et des autres dans laquelle il est beaucoup question de mort et il faudra aller au bout de ce roman pour découvrir tous les mystères cachés.
J'ai beaucoup aimé l'écriture de Valentina d'Urbano, elle est fluide et très agréable à lire. Le mystérieux tient une grande place dans ce roman et cela ne m'a pas dérangée malgré mon esprit plutôt terre à terre.
Une belle découverte !
L'avis de Sylire
Livre lu dans le cadre du prix roman Cezam 2016
Livre emprunté à la
Quatrième de couverture :
Les Doges, un lieu-dit au fin fond des Cévennes. C'est là qu'habite Gus, un paysan entre deux âges solitaire et taiseux. Ses journées : les champs, les vaches, le bois, les réparations. Des travaux ardus, rythmés par les conditions météorologiques. La compagnie de son chien, Mars, comme seul réconfort. C'est aussi le quotidien d'Abel, voisin dont la ferme est éloignée de quelques centaines de mètres, devenu ami un peu par défaut, pour les bras et pour les verres. Un jour, alors que l'abbé Pierre disparaît, tout bascule : Abel change, des événements inhabituels se produisent, des visites inopportunes se répètent.
Un suspense rural surprenant, riche et rare.
Mon avis :
Je suis furieuse, furieuse contre le Livre de Poche qui indique "Policier" sur la couverture de ce roman. Pour une fois j'aurais bien fait de lire la quatrième de couverture en détail ou d'autres avis.
Bref c'est un roman noir, oui, rural, oui, mais pas policier.
C'est très dommage car mon avis s'en ressent. C'est dommage parce que j'ai aimé l'écriture de l'auteur, la façon dont il dépeint ses personnages.
La vie rurale et plutôt solitaire de Gus et Abel est très bien décrite. Leurs conversations sont pleines de piquant.
Alors il y a quand un même un léger mystère, quelques surprises (dont une à laquelle j'avais pensé...).
Je pense que j'aurais pu l'aimer beaucoup, beaucoup plus sans cette mention sur la couverture. Je ne vous remercie pas Le livre de Poche.
L'avis de Canel et encore merci pour le cadeau !
La grande escapade
de Jean-Philippe Blondel
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de Robert Galbraith (livre audio)
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