Quatrième de couverture :
632 après Ford : désormais on compte les années à partir de l’invention de la voiture à moteur. La technologie et la science ont remplacé la liberté et Dieu.
La vie humaine, anesthésiée, est une suite de satisfactions, les êtres naissent in
vitro, les désirs s’assouvissent sans risque de reproduction, les émotions et les sentiment ont été remplacés par des sensations et des instincts programmés.
La société de ce Meilleur des mondes est organisée, hiérarchisée et uniformisée,
chaque être, rangé par catégorie, a sa vocation, ses capacités et ses envies,
maîtrisées, disciplinées, accomplies. Chacun concourt à l’ordre général, c’està-
dire travaille, consomme et meurt, sans jamais revendiquer, apprendre ou
exulter. Mais un homme pourtant est né dans cette société, avec, chose affreuse,
un père et une mère et, pire encore, des sentiments et des rêves. Ce « Sauvage », qui a lu tout Shakespeare et le cite comme une Bible, peut-il être un danger pour le « monde civilisé » ?
Mon avis :
Je n'ai pas accroché du tout à ce roman et ceci presque dès le début.
Je me suis forcée durant le premier tiers et quand je me suis rendue compte que j'entendais mais que je n'écoutais pas et que même cela m'énervait... j'ai arrêté de suite.
Dès le début, de longues descriptions de cette société m'ont un peu lassée. Je ne sais pas s'il y a vraiment une histoire car mon esprit s'est très vite mis à vagabonder et je ne comprenais plus rien.
Je suis complètement passée à côté de ce "classique", tant pis.