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Quatrième de couverture :
Il n'a pas de nom. Il ne parle pas. Le garçon est un être quasi sauvage, né dans une contrée aride du sud de la France. Du monde, il ne connaît que sa mère et les alentours de leur cabane. Nous sommes en 1908 quand il se met en chemin - d'instinct. Il rencontre alors les habitants d'un hameau perdu, puis Brabek l'ogre des Carpates, philosophe et lutteur de foire, et découvre
l'amour charnel avec Emma, mélomane lumineuse. Viendra ensuite la guerre, l'effroyable carnage, paroxysme de la folie des hommes et de la civilisation.
À sa façon singulière, radicale, drôle, grave, Le garçon est l'immense roman de l'épreuve du monde.
Mon avis :
Cela avait bien commencé entre ce roman et moi. J'appréciais l'écriture de Marcus Malte et le début de l'histoire de ce garçon.
Et puis les pages défilant j'avais de plus en plus de mal, c'est en effet plus un récit qu'un roman et j'ai du mal avec cette forme de texte.
Page 161 j'ai fait une pause, puis j'ai repris mais avec l'envie permanente de lire en diagonale et je n'ai donc pas résisté longtemps et je l'ai lâchement abandonné.
Le format poche est quand même composé de près de 600 pages et je ne me suis pas senti le courage d'aller au bout, dommage car j'aurais quand même aimé suivre la vie de ce garçon.
Il faut dire aussi qu'il passait après un coup de cœur et ce n'est pas une place facile !
Merci à Babelio