Quatrième de couverture : David Foenkinos nous offre ici une méditation sensible sur la vieillesse et les maisons de retraite, la difficulté de comprendre ses parents, l’amour conjugal, le désir de créer et la beauté du hasard, au fil d’une histoire simple racontée avec délicatesse, humour, et un art maîtrisé des formules singulières ou poétiques. |
Mon avis :
Je continue ma découverte de cet auteur, j'avais beaucoup aimé La
délicatesse et nettement moins Le potentiel érotique de ma femme.
Pour celui-ci mon avis se situe entre les deux. La lecture n'a pas été franchement désagréable mais je n'ai pas réussi à vraiment entrer dans ces souvenirs et je suis restée un peu à
l'extérieur de tout ça.
J'apprécie toujours l'écriture de cet auteur, il est agréable à lire.
Certains passages m'ont fait sourire "Je suis allée voir l'hôtesse d'accueil pour lui demander quel était le problème. Je n'ai jamais aimé cette
femme. D'une cinquantaine d'années, elle était toujours très désagréable (les deux faits ne semblent pas liés). Chaque fois que je la voyais, elle était en train de râler." p.56
J'ai bien aimé que l'auteur intercale des souvenirs de personnages dont il parle, le paragraphe est alors en italique, ce sont parfois des inconnus, parfois des personnes célèbres. L'un de ces souvenirs concerne une danseuse russe et je l'ai trouvé particulièrement touchant.
Certains passages avec la grand-mère du narrateur sont également émouvants, mais globalement j'ai trouvé que tout ça n'était pas très gai et je suis restée un peu sur ma faim.
Livre emprunté à la |
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