La lecture est ma passion et elle ne s'arrange pas avec l'âge pour mon plus grand plaisir.
Par Sandrine(SD49)
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Quatrième de couverture : Trois destins ordinaires d'ados basculent dans la haine, le crime, et la violence. Leur route va croiser celle de Stark, un flic cassé par la vie que ce nouveau monde criminel horrifie. Et ce ne sont ni les sentiments amoureux qu'il ressent pour la mère de l'un d'eux, ni son expérience de flic confronté depuis toujours à l'extrême violence d'un monde qui n'en finit pas de se perdre, qui vont l'aider à garder la foi dans l'humanité. Heureusement il y a le chien. Après Le Cinquième Jour et Mauvais frère, Le chien qui riait démontre une fois de plus le talent de Maud Tabachnik pour explorer le cheminement imprévisible et effroyable de ceux qui ont perdu le sens de ce qui fait un être humain. |
Mon avis :
Dans ce genre de livre, je n'ai pas tout à fait les mêmes goûts que mon homme, cela fait deux fois qu'il aime un livre et que celui-ci ce m'enthousiasme pas trop.
Dès le début on sait qui est le tueur et on va suivre son évolution dans l'horreur, on suit également l'enquête de l'inspecteur Stark qui a été malmené par la vie.
Un livre facile à lire qui alterne la vie du jeune tueur et celle du flic. Un livre "spécial suspense" comme il est indiqué sur la couverture et de ce côté là j'ai été déçue, pas de suspense haletant mais plutôt une analyse des personnages et de leur évolution.
Le passage que j'ai préféré : quand le flic rencontre un chien qui lui adoucit la vie.
Je n'ai pas passé un mauvais moment mais je m'attendais à autre chose.
Quelques scènes très sanglantes et cruelles.
Livre emprunté à la![]() |
![]() Catégorie animal |
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