La lecture est ma passion et elle ne s'arrange pas avec l'âge pour mon plus grand plaisir.
Par SD49
Quatrième de couverture :
Rosamond vient de mourir, mais sa voix résonne encore, dans une confession enregistrée, adressée à la mystérieuse Imogen. S'appuyant sur vingt photos soigneusement choisies, elle laisse libre cours à ses souvenirs et raconte, des années quarante à aujourd'hui, l'histoire de trois générations de femmes, liées par le désir, l'enfance perdue et quelques lieux magiques. Et de son récit douloureux et intense naît une question, lancinante : y a-t-il une logique qui préside à ces existences ?
Tout Jonathan Coe est là : la virtuosité de la construction, le don d'inscrire l'intime dans l'Histoire, l'obsession des coïncidences et des échos qui font osciller nos vies entre hasard et destin. Et s'il délaisse cette fois le masque de la comédie, il nous offre du même coup son roman le plus grave, le plus poignant, le plus abouti.
Mon avis :
C'est la nièce de Rosamond qui est chargée de retouver Imogen et de lui transmettre
cet héritage, ne retrouvant pas celle-ci, elle écoute les cassettes de cette étrange confession.
Pourquoi lègue t elle cette confession à Imogen, qui est Imogen ????
J'aime bien les livres qui ont quelque chose d'original, celui-ci c'est pour sa façon de décrire la vie de plusieurs femmes à travers vingt
photos.
Chaque chapitre correspond à la description d'une photo et de ce qui s'est passé à l'époque de celle-ci.
On fait donc des petits sauts dans le temps à chaque changement de chapitre et dès la troisième photo j'avais du mal à m'arrêter car je me demandais ce que j'allais
découvrir dans le chapitre suivant.
Le thème de ce livre qui a été le plus marquant pour moi c'est l'influence du comportement des parents sur la vie de leurs enfants. Quelle responsabilité,
et que de dégâts possibles !
J'ai beaucoup aimé ce livre et je l'ai lu très rapidement.
Bellesahi a trouvé que c'était un très beau roman.
Cathulu est restée un peu sur sa faim.
Livre emprunté à la
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