1 novembre 2014 6 01 /11 /novembre /2014 17:51

                                    

Résumé : 
La plus grande course à pied jamais organisée à travers les Etats - Unis : c'est l'incroyable défi que lance Charles C. Flanagan, alors que le pays s'enfonce dans la crise de 1929. Sur la ligne de départ, à Los Angeles, ils seront plus de deux mille, venus de soixante pays. 5 063 km plus tard, quelques centaines seulement atteindront New York. Au fil des étapes, ils apprendront à se connaître, trouveront pour certains l'amitié, l'amour... 
Ensemble, ils iront au bout d'eux-mêmes.

 

Mon avis : 
Avant de vous parler de ce livre, je fais une petite parenthèse personnelle.
J'ai commencé cette lecture juste avant de partir à Rennes pour participer aux 10 kms de
Tout Rennes court avec ma soeurette, et ce même jour Galéa a publié sa super video sur les joggueuses du dimanche.

Durant cette lecture j'ai donc baigné à fond dans la course à pied à tous les niveaux et j'ai passé d'excellents moments.

Ce livre est formidable ! Je me demandais bien comment l'auteur pourrait m'intéresser à cette course de 5000 kms entre Los Angeles et New York, que dire sur des jours et des jours de course ?  Et pourtant... il se déroule de nombreux évènements en marge de cette course.
On suit la course, on découvre petit à petit les coureurs et leur vie d'avant.

Certaines phrases parlent à la petite coureuse que je suis "C'est toujours le rythme qui tue, jamais la distance". Pour le moment je ne cours ni très vite ni très longtemps... mais je ne désespère pas de progresser !

Dans cette histoire, il est bien sûr question de compétition mais aussi de solidarité, d'entraide et les relations qui se tissent entre les coureurs sont très fortes et certains passages poignants.

Les problèmes rencontrés par les organisateurs sont nombreux, on leur met des bâtons dans les roues car certains veulent que la course s'arrête, les finances sont précaires et indispensables à la poursuite de cette épopée.

Des fêtes, des kermesses, des défis jalonnent cette histoire lors des jours de "repos", les coureurs sont sollicités alors qu'ils devraient se reposer, mais ils tiennent le coup contre vents et marées.

Je ne pensais pas autant aimer ce livre et j'ai été déçue que cela s'arrête, je serais bien restée encore un peu avec les personnages.

Et demain matin je vais courir, allez hop !
 

L'avis de Galéa.

 

           Livre prêté
            par Marie.
                Merci !       

             

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 16:11

                                    

Mon avis : 

Trois vieux papis (comme dans la chanson de Gotainer ! ) se retrouvent à l'enterrement de Lucette la femme de l'un d'entre eux. Mais il y a aussi Sophie, enceinte, la petite fille de Lucette qui lui ressemble énormément.

Que de dialogues savoureux !!!!!! Ces vieux messieurs n'ont pas la langue dans leur poche, ils sont alternativement drôles et attendrissants.

De fil en aiguille ils vont se retrouver embarqués dans un "road trip" avec Sophie au volant. 

Quel dommage que le tome 2 ne soit pas encore sorti mais cela ne saurait tarder ! 
J'espère que ma bibliothèque se dépêchera de l'acquérir.

 

BD empruntée à la

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7 septembre 2014 7 07 /09 /septembre /2014 10:20

                                          

Quatrième de couverture : 
Au printemps 1938, l'Autriche n'est plus un havre de paix pour les juifs. Elise Landau, jeune fille de la bonne société viennoise, est contrainte à l'exil. Tandis que sa famille attend un visa pour l'Amérique, elle devient domestique à Tyneford, une grande propriété du Dorset. C'est elle désormais qui polit l'argenterie et sert à table. Au début, elle se fait discrète, dissimule les perles de sa mère sous son uniforme, tait l'humiliation du racisme, du déclassement, l'inquiétude pour les siens, et ne parle pas du manuscrit que son père, écrivain de renom, a caché dans son alto. Peu à peu Elise s'attache aux lieux, s'ouvre aux autres, se fait aimer... Mais la guerre gronde et le monde change. Elise aussi doit changer. C’est à Tyneford pourtant qu’elle apprendra qu'on peut vivre plus d'une vie et aimer plus d'une fois.

 

Mon avis : 
Quel bon moment de lecture ! Je suis à la limite du coup de cœur.

Elise, est une jeune juive autrichienne issue d'une famille d'artistes. En 1938, ses parents l'envoient en Angleterre en attendant de pouvoir rassembler parents et enfants aux Etats Unis. Elise est issue d'une famille relativement aisée et va se retrouver du côté des domestiques au manoir de Tyneford.

Dès qu'Elise arrive au manoir de Tyneford, je me sens plongée dans une ambiance qui me rappelle celle de la série Downton Abbey que j'avais adorée.

La présence d'Elise bouleverse un ordre bien établi et la hiérarchie entre les différents membres de la maisonnée, elle doit néanmoins rester "à sa place".

J'ai attendu avec impatience les nouvelles qu'Elise reçoit de sa famille, et cela ne se fait pas en un clic comme maintenant, des semaines passent avant de recevoir des nouvelles qui ne sont plus très fraîches.

L'amour, la guerre, la mort, tout est présent dans cette histoire. J'ai aimé tous les personnages, vivre à leurs côtés et j'aurais même aimé que cela dure un peu plus longtemps.

J'ai adoré cette ambiance très british, la description des paysages de bord de mer.

J'ai beau chercher je ne trouve rien de négatif à dire, ce livre est vraiment très agréable à lire, et il est tombé à point à un moment où j'en avais besoin.

 

L'avis de Galéa.

 

       Livre issu de ma 

         

      


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25 août 2014 1 25 /08 /août /2014 18:12

                                            

Présentation de l'éditeur :
Je m'appelle Eugène Ysaÿe. Je suis violoniste. Le Gouverneur m'avait invité au Congo pour donner un concert. Je comptais passer ensuite trois semaines chez mon neveu au bord du magnifique lac Maï Ndombé. C'est ainsi que je fis sa rencontre.

Ne me demandez pas son nom: tout le monde ici l'appelle « Tourne-Disques ». Il pourrait être mon fils... s'il n'était plus noir qu'un café serré. La musique permet des rencontres étonnantes. Celle-là devait me marquer pour toujours. Après tout, je n'avais que 70 ans et encore tant de choses à apprendre !
 

Mon avis : 
Quelle belle histoire ! J'ai tout de suite sympathisé avec Eugène, le violoniste, c'est un personnage sensible et très humain. 

Il part de Belgique et les images sont sombres, dès qu'il arrive en Afrique tout s'éclaire et prend des couleurs. 

C'était l'époque des 78 tours et il fallait les retourner très souvent, les blancs de cette histoire avaient un noir, à leur service, dédié à cette tâche, pour ne pas devoir se lever toutes les cinq minutes...

J'ai beaucoup aimé cette histoire qui parle d'amour de la musique, certains passages sont émouvants et d'autres m'ont fait sourire. C'est vraiment une bien belle BD.

Mon seul bémol est la taille des caractères que j'ai trouvée un peu petite, mais c'est vraiment un tout petit bémol (pour une histoire de musique en plus !).

Je vous recommande vivement cette BD, vous l'aurez compris.

Les avis de Canel, Noukette et Jérôme.

 

Merci à Babelio et aux éditions Le Lombard

    


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19 août 2014 2 19 /08 /août /2014 10:21

                                        

Quatrième de couverture : 
Aujourd’hui, Maddie est en bleu, un bleu couleur de ciel d’été…
Maddie, c’est la petite-fille que Charlotte Hale n’a jamais pu embrasser, à qui elle n’a même jamais pu parler. Car pour parvenir au sommet de la réussite, — et laisser définitivement derrière elle une enfance pauvre et douloureuse —, elle a dû renoncer, bien des années plus tôt, à l’affection de tous ceux qui comptaient pour elle. Un choix qu’elle a toujours considéré comme le seul possible, et qu’elle n’a jamais remis en question. Jusqu’au jour où, bouleversée par une terrible nouvelle, elle prend conscience qu’elle ne peut plus continuer ainsi : avant qu’il ne soit trop tard, elle doit renouer les fils rompus de sa vie. Et pour commencer, parvenir à faire enfin la connaissance de Maddie, cette petite fille si attachante, si fragile, afin de lui offrir tout son amour.
Cette quête, aussi désespérée que lumineuse, pour trouver le vrai sens de son existence, Charlotte comprend très vite qu’elle ne pourra l’entreprendre seule. Et qu’elle ne touchera au but que grâce aux femmes extraordinaires dont le chemin vient de croiser le sien…

Mon avis : 
Charlotte est partie de loin et a toujours voulu arriver tout en haut de la société, elle en a même sacrifié sa vie de famille.

Un évènement lui fait prendre conscience de tout ça, bouleverse sa vie et la fait réfléchir. Elle n'a plus de liens avec sa fille, sa petite-fille ne la connaît  pas.
Charlotte va beaucoup évoluer tout au long du roman et je l'ai trouvée très attachante.
Sa vie passée est racontée sous forme de journal et ses écrits s'alternent avec  son histoire actuelle. 

C'est une belle histoire de reconversion, de prise de conscience, avec des passages très émouvants. Charlotte se révèle sous un nouveau jour bien plus sympathique et touchant qu'auparavant.

Un très bon moment de lecture.

 

     Livre du club de lecture
         avec mes copines

             

 


  Catégorie moment/temps

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17 août 2014 7 17 /08 /août /2014 16:00

                                                

Quatrième de couverture : 
C'est une journée ordinaire à Jérusalem, un attentat moyen : un kamikaze dans un café, six morts, deux jours d'info à la télévision. Oui, depuis trois ans, l'horreur est devenue routine, et la Ville sainte va tout droit en enfer.
Tal, elle, ne s'habitue pas. Elle aime trop sa ville et la vie. Elle veut mourir très, très vieille et très, très sage. Un jour, en plein cours de biologie, une ampoule s'allume au-dessus de sa tête, comme dans un dessin animé. Voilà des jours qu'elle écrit ce qu'elle a sur le coeur, ses souvenirs, la fois où elle a vu ses parents pleurer de joie, le jour de la signature des accords de paix entre Israéliens et Palestiniens, et puis la désillusion, la révolte, la terreur, et l'espoir quand même. Ce qu'elle pense, ce qu'elle écrit, quelqu'un doit le lire. Quelqu'un d'en face. Elle l'imagine déjà, cette amie-ennemie inconnue aux cheveux noirs.
Eytan, le frère de Tal, fait son service militaire à Gaza. Elle glisse ses feuillets dans une bouteille et la lui confie...

Mon avis : 
Ce livre aborde de façon intéressante le conflit israélo-palestinien au travers de deux adolescents.

Tal, une jeune israélienne qui prépare son bac, envoie une bouteille à la mer (ou c'est tout comme), elle rêve de lier connaissance avec une jeune palestinienne de son âge. 

L'échange de sera pas forcément comme elle le prévoyait mais il va commencer et se poursuivre durant un certain temps.

J'ai beaucoup aimé découvrir la vision du conflit que peuvent avoir ces jeunes, leur façon de vivre la peur, mais aussi l'espoir qui est toujours présent.

C'est une histoire touchante qui a plu aussi à mon ado fille de 16 ans. Depuis sa lecture, elle tend l'oreille quand elle entend parler d'Israël et de la bande Gaza.

 

Les avis de Saxaoul, La Sardine et Canel.

 

   Livre emprunté à la

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23 juillet 2014 3 23 /07 /juillet /2014 22:09

                                     

Mon avis : 
Me voici en train de découvrir le Tome 6 de la vie de Pico Bogue. J'avais déjà lu et aime le tome 1  et le tome 2.
Cela n'est pas gênant de les lire dans le désordre, cela ne m'a pas dérangée.

Pico et sa sœur Ana Ana partent en vacances avec leur oncle Antoine et ne lui font grâce d'aucune remarque. Cela commence dans la voiture sur la route, sur leur lieu de villégiature et se termine par l'arrivée des parents venant récupérer leurs petits coquins.

Dès la première page j'avais le sourire aux lèvres et il ne m'a pas quitté durant toute ma lecture.

Antoine en prend pour son grade, à propos de sa voiture, de son gros ventre, de sa cuisine.... c'est drôle !!!!!!

Pico et sa sœur ont un sacré sens de la répartie, c'est cocasse et j'ai passé un très bon moment.

 

L'avis de A propos de livres.

 

    BD empruntée

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      Catégorie verbe

 

 

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19 juillet 2014 6 19 /07 /juillet /2014 22:56

                                        

Quatrième de couverture :
«Je n'ai jamais vu autant de corbeaux qu'autour d'Isabelle. Dès l'aube ils noircissent les trois grands chênes qui dominent sa maison. Ils restent là des jours à observer ses gestes, ses pas, la douceur de sa vie. Je suis comme eux, je les comprends.» 

René Frégni marche chaque jour sur des chemins où ses filles ont couru, grandi, avant de partir vivre leur vie. Seul désormais, il sillonne inlassablement une Provence brûlée par l'été et le gel. Dans un décor âpre et sauvage, il croise d'étranges silhouettes ; un vieil homme sans mémoire regarde comme des fantômes les arbres qu'il a plantés, un truand qui a passé vingt-sept ans dans l'ombre des prisons lui raconte les lambeaux solitaires et violents de sa vie, une femme d'une mystérieuse douceur traverse des champs de neige suivie, de loin en loin, par un nuage de corbeaux. 
Comme une suite à Elle danse dans le noir, ce journal est un chant d'amour qui monte des vastes déserts de pierre et de lavande que l'on découvre dès que l'on quitte Banon, Manosque ou Moustiers-Sainte-Marie, un chant mélancolique et lumineux ; un voyage parfois cruel vers la tendresse et la beauté.

Mon avis : 
De cet auteur j'avais déjà beaucoup aimé Elle danse dans le noir, acheté au Salon du livre de Rennes en mars dernier grâce à Sylire.

J'ai attendu un peu avant de lire celui-ci en me disant que je n'allais sans doute pas l'aimer autant que le premier. Eh bien si ! 

Ecrit sous forme de journal, ce livre se lit comme un roman.
La fille de René Frégni a bien grandi depuis Elle danse dans le noir, elle vit sa vie loin de son père, elle est étudiante et a un amoureux. Il dit qu'il n'est plus le premier homme de sa vie mais juste son père. On sent très bien que cela est difficile pour lui.

René Frégni va régulièrement garder Lili, 95 ans, qui oublie tout. Leur relation est empreinte de tendresse, j'ai beaucoup aimé ces passages ainsi que ceux avec Isabelle la fille de Lili. L'auteur en pince un peu pour elle.

L'auteur retrouve aussi de temps en temps Tony, un truand sorti de prison avec lequel il a gardé des liens. 

Mais l'auteur est aussi un peu voyeur quand il observe ses voisins car il a une vue plongeante sur la fenêtre de leur salle de bains. Il ne voit que leurs corps, pas leurs têtes et il imagine les liens qui peuvent exister entre les trois habitants de ce logement. Cela m'a fait sourire à plusieurs reprises.

Et toujours quelques passages touchants où il parle de sa mère qui lui manque tant. "Pour parler à ma mère il faut que je sois seul. Jadis je ne serais jamais entré dans un cimetière à la tombée de la nuit, la seule plainte du portail aurait glacé mon dos. Maintenant que ma mère est ici, c'est l'endroit le plus rassurant de la terre, même à minuit. Mortes, nos mères veillent encore sur nous." p.26

J'apprécie beaucoup la façon d'écrire de cet auteur, c'est plein de douceur, plein d'images, plein de poésie. 
Encore un très bon moment de lecture.

Les avis de Syliret Cathulu.

 

           Livre prêté
            par Sylire.
                Merci !       

             
 


      Catégorie animal

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13 juillet 2014 7 13 /07 /juillet /2014 22:53

                                              

Quatrième de couverture : (censurée par mes soins)
Prof d’histoire-géo mariée à un politicien narcissique, Mariette est au bout du rouleau. (..)
Millie, jeune secrétaire intérimaire, vit dans une solitude monacale. Mais un soir, son immeuble brûle. (..)
Déserteur de l’armée, Monsieur Mike a fait de la rue son foyer. Installé tranquillement sous un porche (...) 
Au moment où Mariette, Millie et Mike heurtent le mur de leur existence, un homme providentiel surgit et leur tend la main – Jean, qui accueille dans son Atelier les âmes cassées, et dont on dit qu’il fait des miracles. 

Mais peut-on vraiment se reconstruire sans affronter ses fantômes ? Avancer en se mentant et en mentant aux autres ? Ensemble, les locataires de l’Atelier vont devoir accepter leur part d’ombre, tandis que le mystérieux Jean tire les ficelles d’un jeu de plus en plus dangereux.

Mon avis : 
Millie, Mariette et Mr Mike, trois blessés de la vie, ils portent en eux une culpabilité. Chacun va vivre un évènement fort qui va le faire basculer.

Jean et son atelier des miracles vont être là pour eux. Jean va les aider à redresser la tête, à se retrouver, à exister.

J'ai dévoré ce livre en quelques heures, j'en ai aimé les personnages principaux.

Rapidement on se doute que ce Jean cache des choses, est-il aussi bon qu'il en donne l'apparence ? Est-il vraiment animé de bonnes intentions ? 

C'est ce qui m'a plu, tout n'est pas lisse et empli de bons sentiments. Il y a des grincements de dents, des coups de becs.
Mais aussi des très belles choses, de belles rencontres, de l'entraide, de l'amitié.

Voici un livre que je n'hésiterai pas à conseiller ! 

 

Les avis de Stephie, Jules, A propos de livres.

 

       Livre issu de ma 

         

      


       Catégorie bâtiment

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 22:56

                                

Quatrième de couverture :
Le commissaire Flemming Torp dîne chez ses amis Marianne et Dan Sommerdahl, dans une confortable villa de Christians-sund, ville prospère du Danemark. Dan est en arrêt maladie pour dépression : son poste de directeur artistique dans une agence publicitaire lui a procuré un certain confort matériel mais l'a écoeuré. À quarante ans, il doute de ses choix. Rien de tel que la fréquentation d'un commissaire de police pour ouvrir son horizon ! Une femme de ménage est assassinée dans les locaux même de son agence de pub. Voilà Dan sur les talons de Flemming Torp à démêler réseaux de prostitution et pseudo-oeuvres sociales d'aide aux clandestins. Le quadragénaire se prend au jeu et reprend du poil de la bête. Quelle est la différence entre un publicitaire dépressif et un «Détective chauve» ? Le premier bichonne son Audi A6 quand le second batifole avec son chien.

 

Mon avis : 
Dan est publicitaire, dépressif et en arrêt de travail. Un meurtre est commis dans son agence, il aide son ami Flemming le policier dans le début de l'enquête.  Puis il se prend au jeu et reprend goût à la vie en faisant des recherches de son côté (pas toujours bien vues par la Police d'ailleurs).

J'ai passé un très bon moment avec cette histoire très prenante qui mêle meurtres de femmes étrangères, esclavagisme moderne, prostitution, traite humaine.

J'ai vraiment bien aimé le personnage de Dan qui évolue favorablement au fil du roman.

Certains passages sont un peu durs car très bien décrits.

L'histoire de ces femmes étrangères est bien sûr révoltante et poignante.

Une enquête originale avec ce binôme flic-non flic, des rebondissements, des surprises, je dirais donc que c'est un bon polar.

 

 

   Livre emprunté à la

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      Catégorie verbe

 

     

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