Quatrième de couverture : (censurée par mes soins !)
Un sale jour, celui de la naissance de Léone, qui à peine sur terre, est déjà orpheline. Mais c’est une rebelle. Dés ses premières années, elle se révolte, elle provoque. Elle se met à peindre quand les autres labourent, à jacasser quand on se tait, à aimer la vie quand on geint. Plus tard, c’est la montée à Paris, l’installation au cœur des Halles, le travail chez un notaire minable, le Corbeau, l’amitié avec Marlène, les nuits de swing au Balajo, les premières aventures, ici et là, et enfin la rencontre avec Mécano, qu’elle aime et qui la plaque le jour où elle lui annonce qu’elle est enceinte.
Pendant neuf mois elle va l’attendre, le guetter au détour des rues, l’appeler de toutes ses forces. Vainement. Jacques naît en décembre, sans père, comme Léone. [...]
Alors un beau matin, elle s’engage dans l’armée comme PFAT, s’envole pour l’Indochine en guerre. Là-bas, dans la moiteur de l’air, sous la pluie des moussons, elle découvre des hommes et des femmes différents. Elle découvre la guerre, une forme d’engagement au service d’une cause, [...].
Mon avis :
Je l'ai attendu longtemps ce fameux voyage, il commence à la page 325 alors que le livre en compte 456 ! Evidemment tout ce qui se passe avant nous y amène mais j'aurais préféré qu'il arrive plus vite.
L'histoire de Léone n'est pas désagréable à lire mais sans plus, rien de très nouveau ni de très original. Léone est plutôt sympathique, elle veut s'en sortir mais est trop attirée par les hommes pour leur résister et cela lui joue des tours.
J'ai trouvé que la conclusion de l'histoire arrivait brutalement et je suis restée sur ma faim.
Cela fait quand même un livre de moins dans ma PAL, je l'avais acheté au hasard à la braderie de la bibliothèque l'année dernière et il me permet de continuer mon challenge petit bac.
Livre issu de ma