Quatrième de couverture : L'année de ses trente ans, Nola décide d'affronter les démons qui la hantent depuis plus d'une décennie, depuis cet été-là. Août 1998, il fait trente-sept degrés, Paris est vide, les Bleus sont champions du monde, et la jeune Nola vient de perdre son père. Contrainte d'emménager avec sa mère, Mira, dans " l'immeuble-mutant ", reflet architectural de leur vie décrochée, elle espère se reconstruire. Mais bientôt, Mira présente d'étranges symptômes... L'Effet Larsen nous plonge au coeur de la mémoire familiale, dans ces zones d'ombres où se nichent la culpabilité et les coups du sort. |
Mon avis :
Nola a trente ans mais nous raconte ce qu'elle a vécu l'année de ses dix-huit ans.
J'ai trouvé que Nola était forte malgré son chagrin, elle est très jeune pour vivre le décès de son père et supporter la dépression de sa mère qui s'en suit, c'est elle qui s'en occupe et qui
assure le quotidien.
Avec pudeur elle nous raconte ses souvenirs et on découvre peu à peu ce qui est arrivé à cette famille.
J'ai aimé l'écriture de l'auteur, celle-ci rend bien la chaleur étouffante qui régnait à Paris cet été là, le poids du deuil et du chagrin. Malgré tout, l'histoire n'est pas trop triste, quelques
lueurs positives jaillissent ici ou là.
Ce fut pour moi une bonne lecture.
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