Quatrième de couverture :
A la mort de son père, célèbre violoncelliste, Lucrezia met au jour dans les
affaires du défunt une boîte remplie de lettres, toutes écrites par la même personne : une certaine Costanza, qui, des années durant et dans le plus grand secret, fut la maîtresse du
musicien.
Surprise de découvrir cette relation dont elle ne soupçonnait pas l'existence, Lucrezia décide de se rendre en Provence, chez Costanza, afin d'en apprendre davantage sur son
père.
Le temps d'un week-end, celle-ci va lui parler de l'homme qu'elle a aimé.
Mon avis :
Je n'ai pas accroché à cette histoire, je l'ai trouvé trop lente, pas très structurée. La narratrice écrit à une amie mais ce n'est pas très net dès le début.
Cette femme qui se plaint de ne pas avoir son amant pour elle seule, mais elle savait qu'il était marié (elle aussi d'ailleurs !) mais je sais qu'il y en a que ça ne gêne pas .....
Elle lit certaines des lettres qu'elle a écrit à son amant à la fille de celui-ci, et même certains passages très intimes, beaucoup trop pour être lus à quelqu'un surtout à la fille du destinataire de la lettre.
J'ai trouvé ça plutôt malsain.
Je n'ai pas du tout été sensible à cet "amour", il m'a semblé qu'elle avait décidé qu'il serait à elle, et que lui s'est laissé faire.
Cette Costanza paraît vraiment soûlante à parler tout le temps, il faut dire que lui était plutôt du genre silencieux.
Je n'ai pas ressenti l'amour de l'homme pour cette femme, j'ai eu l'impression que c'était à sens unique.
Il me faut découvrir de cet auteur L'amour à la lettre A qui semble mieux que cette histoire là.
Merci à Suzanne de et aux éditions Presses de la cité pour ce livre.