Quatrième de couverture : (censurée par mes soins !)
Récompensé par le très prestigieux Costa Book Award, un somptueux roman, bouleversant et sensible, où s'entremêlent des voix aussi émouvantes que troublantes pour évoquer les relations maternelles, la force des liens du sang et le pouvoir destructeur des non-dits.
Lexie a accompli son rêve : rejoindre Londres pour y devenir journaliste. Insolente, sûre d'elle, la jeune femme évolue triomphalement dans le fougueux Soho des sixties, menant de front sa vie professionnelle et de mère célibataire. Jusqu'au jour où le destin se rappelle à elle...
Quarante ans plus tard, Elina, une jeune artiste d'origine finnoise, vient de mettre au monde son premier enfant. Un accouchement qui a failli lui coûter la vie et dont le souvenir obsédant menace de détruire son couple. Car, depuis la naissance, son mari, Ted, se comporte de façon très étrange, [...]
Un secret qui unit intimement Lexie et Elina...
Mon avis :
J'ai été un peu déçue par ce livre d'autant plus que j'avais aimé "Quand tu es parti" et "L'étrange disparition d'Esme Lennox" du même auteur.
Deux histoires de femmes : voila tout ce que je savais avant de commencer ce livre, c'est pour cela que j'ai censuré la quatrième de couverture, pas besoin d'en savoir plus.
Le lien entre ces deux histoires de femmes s'est fait pour moi aux deux tiers du livre, mais peut être suis-je passée à côté d'indices sans les voir ? Du coup cela m'a paru un peu long même si l'histoire est plutôt agréable à lire.
J'ai été plus touchée par l'histoire de Lexie, à la fin des années cinquante il ne devait pas être simple d'être une femme indépendante et libre. J'ai trouvé ce personnage plutôt sympathique et dynamique.
Les chapitres sur Elina et Ted m'ont moins accrochée. Ces deux personnages ont un comportement un peu surprenant, on apprend un peu à la fois ce qui a traumatisé Elina pendant son accouchement.
J'ai préféré le dernier tiers du livre qui voit arriver des révélations auxquelles je ne m'attendais pas.
Merci à Babelio, livre reçu grâce à la dernière opération masse critique. Et merci aussi aux Editions Belfond.