Quatrième de couverture :
Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe.
Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L'Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. Un ton d'une vitalité inouïe, un rythme proprement effréné et une écriture enchantée. C'est ce qu'il fallait pour donner à cette fable la portée d'une histoire universelle : l'histoire des femmes avec leurs hommes, des femmes avec leurs enfants.
L'histoire de l'amour en somme, déplacée dans l'univers d'un conte tropical, où Véronique Ovaldé a rassemblé tous les thèmes - et les êtres - qui lui sont chers.
Mon avis :
Pour ce livre j'ai eu un peu le même ressenti que pour Le coeur cousu de Carole Martinez. J'ai lu beaucoup d'avis positifs, j'ai aimé le début du livre et au fur et à mesure que l'histoire avançait je m'en suis lassée. Je n'arrive pas trop à déterminer les causes de cette impression, l'écriture est agréable et je me fais l'effet d'un vilain petit canard.
Je ne sais pas si ce livre n'était pas fait pour moi ou si je ne l'ai pas lu au bon moment, mais un étrange état de somnolence me prenait après la lecture de quelques pages, fatigue ou manque d'intérêt, peut-être les deux.
Allez plutôt lire les nombreux avis recensés chez BOB.
Livre emprunté à la