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Quatrième de couverture :
Eleanor-Rigby est journaliste au magazine National Geographic, elle vit à Londres.
Un matin, en rentrant de voyage, elle reçoit une lettre anonyme lui apprenant que sa mère a eu un passé criminel.
George-Harrison est ébéniste, il vit dans les Cantons-de-l'Est au Québec.
Lui aussi reçoit un message accusant sa mère des mêmes faits.
Eleanor-Rigby et George-Harrison ne se connaissent pas.
L'auteur des lettres leur donne rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore.
Quel est le lien qui les unit ?
Quel crime leurs mères ont-elles commis ?
Qui est le corbeau et quelles sont ses intentions ?
Au coeur d'un mystère qui hante trois générations, La Dernière des Stanfield nous entraîne de la France occupée de l'été 1944, à Baltimore dans la liberté des années 1980, jusqu'à Londres et Montréal de nos jours.
Mon avis :
Cela faisait une éternité depuis ma dernière lecture d'un roman de Marc Levy. Et bien... moyen...
J'ai juste envie de dire tout ça pour ça, c'est un peu tiré par les cheveux, ça traîne aussi en longueur.
J'ai quand même aimé certains passages de cette histoire mais sans avoir envie de m'y replonger le plus vite possible.
Mon souvenir le meilleur reste son premier roman Et si c'était vrai, lu à Arcachon jusqu'au milieu de la nuit !
Roman du club de lecture
avec mes copines
