Quatrième de couverture :
Marie se sent perdue. Son mari, ses enfants sont le dernier fil qui la relie à la vie.
Ce fragile équilibre est bouleversé le jour où elle rencontre les "Kosovars ", ces réfugiés dont nul ne se soucie et qui errent, abandonnés, aux confins de la ville.
Négligeant sa famille, Marie décide de leur porter secours. Et de tout leur donner : nourriture, vêtements, temps, argent, elle ne garde rien pour elle. Entraînée par une force irrésistible, elle s'expose à tous les dangers, y compris celui d'y laisser sa peau.
Avec ce roman, Olivier Adam nous rappelle que la violence qui frappe les plus faibles est l'affaire de chacun. Et trace le portrait inoubliable d'une femme dépassée par la force de ses sentiments.
Mon avis :
Curieuse coïncidence : j'ai lu ce livre au moment de l'actualité brûlante à Calais sur les riverains qui manifestaient à propos de la présence des réfugiés à leur porte.
L'histoire de Marie est triste et sombre, c'est une femme fragile psychologiquement. Je n'ai pas adhéré du tout à son comportement notamment envers ses enfants qu'elle abandonne presque. Elle leur transmet sa souffrance et n'est plus en état de les protéger. Cela m'a dérangée.
En revanche le sort des migrants m'a touchée et on se demande comment ils vont tous sortir de cette impasse.
L'ambiance de ce livre est morose, il n'y a pas de lumière au bout du tunnel. C'est vraiment plombant et heureusement qu'il n'est pas très long et qu'il se lit assez vite.
J'aime toujours l'écriture d'Olivier Adam mais pas tous les sujets qu'il aborde et surtout j'avais envie de plus de légèreté.
Livre emprunté à la
Violette 22/09/2016 14:54
Sandrine(SD49) 22/09/2016 20:13
Tiphanie 21/09/2016 14:31
Sandrine(SD49) 22/09/2016 20:12
gambadou 18/09/2016 17:03
Sandrine(SD49) 18/09/2016 19:42
Manika 18/09/2016 15:33
Sandrine(SD49) 18/09/2016 19:42
krol 18/09/2016 01:22
Sandrine(SD49) 18/09/2016 19:41