Quatrième de couverture : Une maternité. Chaque porte ouvre sur l'expérience singulière d'une femme tout juste accouchée. Sensible, vulnérable, Béatrice, qui travaille là, reçoit de plein fouet ces moments extrêmes. Les chambres 2 et 4 ou encore 7 et 12 ravivent son passé de danseuse nue sillonnant les routes à la lumière des projecteurs et au son des violons. Ainsi réapparaissent Gabor, Paolo et d'autres encore, compagnons d'une vie à laquelle Béatrice a renoncé pour devenir normale. Jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus supporter la violence du quotidien de l'hôpital. |
Un hommage poignant au corps des femmes, et un regard impitoyable sur ce qu'on lui impose.
Mon avis :
Déjà quelques jours que j'ai terminé ce livre et je ne sais pas trop comment en parler.
Je n'ai pas adoré mais je n'ai pas détesté non plus, un avis mitigé alors que je pensais que je serais plus touchée par ces histoires de femmes.
Les chapitres qui parlent des occupantes des chambres de la maternité sont un peu courts pour vraiment s'attacher à ce qui leur arrive, et pourtant certaines situations sont vraiment poignantes.
J'ai été plus touchée par l'histoire de Béatrice et sa vie de danseuse nue, nomade avec Gabor. Certains passages sont très beaux et d'autres très tristes.
Un avis en demi-teinte, peut-être un livre à relire à un autre moment.
Merci à Babelio.